Blog éclectique & sans sujet précis - Mot-clé - guerre sainte - Commentaires<p>Si ça me passe par la tête, si ça n’intéresse que moi, alors c’est peut-être ici. Ou pas.</p>2024-02-13T09:44:49+01:00L'éditeur est le propriétaire du domaineurn:md5:bf83720a7189bba489682d945b972671Dotclear« La Seconde Guerre Mondiale vue d'ailleurs » (Claude Quétel & co) - Christopheurn:md5:6dfc3d4a932e40378b307befce4b3ca42023-11-07T10:54:36+01:002023-11-07T10:54:36+01:00Christophe<p>@Thias : oui !</p>
<p>En fait il faudrait un chapitre sur quasiment tous les pays d'Europe et d'Asie.</p>
<p>Tiens, même la Thaïlande (avec qui la France de Vichy a été en guerre).</p>« La Seconde Guerre Mondiale vue d'ailleurs » (Claude Quétel & co) - Thiasurn:md5:d325ecc7b380c3867b8760c21a2fb6e82023-11-07T10:50:55+01:002023-11-07T10:50:55+01:00Thias<p>Par contre, il faut vraiment que les gens arrêtent d'utiliser des alphabets non-romains de manière «visuelle», parce que le titre se lit «vz d'dilleuzrs», c'est une pratique de mauvais restaurants grecs…</p>
« La Seconde Guerre Mondiale vue d'ailleurs » (Claude Quétel & co) - Thiasurn:md5:723edfff2a1beade9fff5e77e9ad1d5b2023-11-07T10:44:55+01:002023-11-07T10:50:38+01:00Thias<p>La Turquie a aussi eu un rôle intéressant, allié traditionnel de l'Allemagne, c'est un «gros» état qui est resté neutre jusqu'en 1945.</p>Légendes & lasagnes culturelles : « Le Cycle du Graal » de Jean Markale - Le webmestreurn:md5:efa102dbf2dbd2e2b3a75d119553d6ff2016-12-11T15:07:47+01:002016-12-11T15:07:47+01:00Le webmestre<p>@gwnehmor: Si si, je dis bien au départ que c’est une synthèse de nombreux textes.</p>
<p>Quant à « se lit facilement », ça dépend de ce que l’on entend par là. Écriture et vocabulaire sont accessibles et modernes, c’est un des intérêts de son travail, mais les répétitions de l’intrigue (belle à sauver/grand méchant/victoire), les quelques incohérences qu’il a conservées, les comportements assez aberrants de certains personnages (pour un natif du XXè siècle)... tout ça est assez lourd au final.</p>Légendes & lasagnes culturelles : « Le Cycle du Graal » de Jean Markale - gwenhmorurn:md5:4bf587242f58ccde5f2ec9ee5f2b62e72016-12-11T08:51:38+01:002016-12-11T15:00:46+01:00gwenhmor<p>À mon avis vous n'avez pas compris le sens de la réécriture de Jean Markale, il a fait une synthèse de tous les textes du moyen âge. Mais il s'est expliqué dans d'autres livres sur l'origine d'Arthur et de sa légende. Franchement c'est peut être un pavé mais il se lit facilement et il aide à connaître qui était vraiment ce roi de légende.</p>« Petit traité de l’imposture scientifique » d’Aleksandra Kroh - ericurn:md5:526aa7bb1dd662374cbd6bd48b3e0b0b2013-09-10T18:29:24+02:002013-09-10T20:01:09+02:00eric<p>Concernant la mémoire de l'eau je cite un extrait du "schizophrénique" article de wikipedia consacré au Professeur Montagnier, selon lequel "l’hypothèse de l’existence dans l’eau de nano-structures relativement stables capables de mémoriser au moins partiellement une information génétique" est valide. Je suis satisfait de voir qu'il y a des chercheurs qui se concentrent sur les fondamentaux plutôt que sur des polémiques d'autant plus confuses qu'elles sont relayées par les médias à large diffusion. Même si Jacques Benveniste s'est fourvoyé sur la signification de ce qu'il a observé, l'histoire de la recherche est faite de telles erreurs que d'autres ont rectifié, c'est une énigme non élucidée, et la version officielle qui lui est encore aujourd'hui opposée, toujours associée à la non validation de l'homéopathie, est intellectuellement malhonnête.</p>Black out or not black out? - Parisurn:md5:14e383b2825d311fccb12e8828a42b932012-12-14T16:10:59+01:002012-12-14T19:37:32+01:00Paris<p>Et bien il faut croire que c'est beaucoup mieux depuis, non ?</p>« Petit traité de l’imposture scientifique » d’Aleksandra Kroh - Le webmestreurn:md5:1fdbd5b8fe34a09ef8f6aa18f3dc24882012-01-04T21:22:41+01:002012-01-04T21:22:41+01:00Le webmestre<p>@Pythagore : Il ne s’agit pas de les concilier, il s’agit de ne pas chercher à empiéter sur le « terrain » de l’autre. La science ne peut ni veut traiter les questions du pourquoi et du sens de l’univers, par exemple, et la religion n’a pas à entrer en compte dans la démarche scientifique.</p>
<p>Ce sont quasiment deux schémas mentaux différents, qui peuvent très cohabiter dans certaines personnes très scientifiques. <i>Credo quia absurdum.</i></p>« Petit traité de l’imposture scientifique » d’Aleksandra Kroh - Pythagore.urn:md5:8a5c090ef22c52473cfd4b9ab5e99e442012-01-04T18:14:35+01:002012-01-04T18:14:35+01:00Pythagore.<p>La science veut BIEN comprendre avant d'accepter.<br />
La religion demande d'accepter SANS comprendre.</p>
<p>Ce sont deux démarches inconciliables.</p>“The Unix-Haters Handbook” (« Le manuel de haine anti-Unix ») - marcurn:md5:b7f9bd17a47fc4becf8db1c06cf1225e2011-03-31T14:09:16+02:002011-03-31T13:09:16+02:00marc<p>Merci pour ta réponse. Oui malheuresement cette cochonnerie de Windows fait des ravages dans la bureautique. Et fout en l'air les documents Open Office . Le PDF en recrutement c'est pas gagné. C'est MS alors c'est trop dur même si ça plante moins... Tu dis "informaticien Windows" il y à contradiction dans les termes :-)) T' as pas le choix hein... "Et puis la bureautique, c’est plutôt le domaine de Windows (de fait…) ou du Mac" Bin dis-donc... Ca c'est le Troll officiel. Le vrai.<br />
Allez... A+</p>“The Unix-Haters Handbook” (« Le manuel de haine anti-Unix ») - Le webmestreurn:md5:4c8cbb237839d76cd6955496fe8297072011-03-30T22:03:45+02:002011-03-30T21:03:45+02:00Le webmestre<p>@marc : Ah, mes 16 ans sont loin… Certes, y a un côté provoc’, comme de dire que pour plein de gens, SQL = MySQL. Ça fait une paie que j’utilise vaguement HP-UX ou AIX ou que j’entends causer de Solaris, mais comme admin, jamais. L’informaticien, même trentenaire voire plus, qui est plutôt Windows (VB, .Net...), Java (un monde en soi), ou plutôt applicatif, bref sans orientation « système/infrastructures » passe aisément à côté des Unix non libres s’il ne les cherche pas.</p>
<p>Quant à Linux pour la bureautique, beau troll : la licence et le buzz a évidemment son rôle dans le succès de la bête, mais il ne serait pas aussi répandu dans les set top box ou les supercalculateurs (92% de part de marché sur top500.org) s’il n’était pas bon qu’à ça. Et puis la bureautique, c’est plutôt le domaine de Windows (de fait…) ou du Mac.</p>
<p>« Pire est mieux », non, Microsoft ne dira jamais ça, quand bien même ils ont bâti leur succès là-dessus.</p>“The Unix-Haters Handbook” (« Le manuel de haine anti-Unix ») - marcurn:md5:9f5da20fab102abb2baac8703ddba4052011-03-30T12:03:19+02:002011-03-30T11:03:19+02:00marc<p>Salut.<br />
Je n'ai pas lu tout ton article. Trop de copié-collé provoque chez moi une surcharge cognitive ;-)<br />
Par contre je me suis arrêté sur :<br />
"Ceux de ma génération et d’après considèrent souvent qu’en pratique Unix = Linux, même si intellectuellement nous savons (?) que ce n’est pas le cas. " T'as 16 ans ? Ou alors tu n'as jamais pianoté sur une machine Unix. Bien que les commandes soit semblables ce 2 O.S sont bel et bien différents. J'irais jusqu'a dire que Linux c'est de l'unix pour faire de la bureautique :-)) Qnx à mon avis fait plus de l'embarqué mais aussi du temps réel. Androîd lui c'est de l'embarqué. Enfin, Pire c'est mieux ça sonne comme un slogan Microsoft. Ce bouquin à l'air marrant. J'aime la sincérité des "mauvais esprits"... On en a un dans notre LUG. Il utilise Linux mais seuleument pour critiquer son utilisation et faire des dérives d'opinions. Hahaha. A+</p>Clé primaire de substitution ou clé naturelle ? - Le webmestreurn:md5:38ecc6845ff521625ffd91fb2fcd4b102010-06-14T18:42:40+02:002010-06-14T17:42:40+02:00Le webmestre<p>@Nad : Le numéro de sécu ne doit pas être stocké car considéré comme une donnée personnelle, donc privée. Mais dans les cas légitimes où il est utilisé, il est effectivement utilisé comme clé, faute de mieux ; par exemple quand un employeur communique avec les mutuelles ou les caisses de retraite.</p>
<p>Aux États-Unis n'importe qui est susceptible de bous demander votre numéro de sécu pour l'intégrer à des fichiers qu'il revend, ce qui ouvre la porte à pas mal d'escroquerie par usurpation d'identité. Pas de ça chez nous (en tout cas pas à la même échelle).</p>Clé primaire de substitution ou clé naturelle ? - Nadurn:md5:f9b2144da0300ca6713bc8938e0d0b932010-06-14T11:50:51+02:002010-06-14T10:50:51+02:00Nad<p>N'est-il pas interdit d'utiliser le numéro de Sécurité Sociale dans une base de données privée. Cela faciliterait l'échange de données inter-entreprise.</p>Clé primaire de substitution ou clé naturelle ? - Le webmestreurn:md5:0cdbe7af3cbd70e7c220de00f94a64ea2010-01-04T22:59:22+01:002010-01-04T22:59:22+01:00Le webmestre<p>@CF Marc : Donc tu as une clé arbitraire digne de ce nom, et une clé « alternative » qui de fait est unique, généralement non nulle, et qui porte donc les contraintes légales/fonctionnelles sur ce numéro. Normal et classique.</p>
<p>Pour les GUID, mon objection principale porte effectivement sur le confort du développeur. Si tu as à l'aise, tant mieux, mais j'ai personnellement du mal à lire des clés monstrueuses. Les requêtes pour y accéder ne posent pas de problème, si ce n'est que parfois une traque de bug porte sur la cohérence ou l'absence de lignes, et qu'il faut parfois « pointer » différents identifiants pour les tracer et savoir quelle jointure les fait « sauter » d’une requête. Question de goût et de domaine précis évidemment.</p>Clé primaire de substitution ou clé naturelle ? - CF Marcurn:md5:78e92834379a2fc05654ae353693dafc2010-01-04T17:36:51+01:002010-01-04T17:36:51+01:00CF Marc<p>Tout d'abord, je trouve cet article très intéresant.<br />
Pour ma part je suis partisant des 2 modes de gestion, d'ailleurs lors de mes différents développement j'utilise à la fois la notion de clé technique et celle dite fonctionnelle.<br />
La clé technique me permet de définir mes relations entre table et la fonctionelle me permet de définir les contraintes fonctionelle d'un enregistrement unique au sein d'une table.<br />
Et pour corser le tout j'utilise toujours des GUID comme clé technique :). C'est vrai que ce type de clé n'est pas très lisible mais dans la pluspart des cas c'est le programme qui la lit et non moi. Si je dois accéder à une information j'utilise le SQL, je ne vois donc pas en quoi l'utilisation de tels clés est un cauchemar pour le développeur.</p>Clé primaire de substitution ou clé naturelle ? - Le webmestreurn:md5:09f3ab67dbe7e289ed44a6d1d27b2def2009-09-05T11:47:08+02:002009-09-05T10:47:08+02:00Le webmestre<p>@Jerome F : Pour la séquence, toujours prévoir très large. En application de gestion, une séquence qui va allègrement chercher dans les milliards suffira pour l'avenir prévisible. Mais l'argument est bon et peut servir à défendre des clés genre UUID 64 bits à la SAP-CRM (ça reste quand même une abomination). Pour la taille de stockage, je ne pense pas qu'elle doive influer sur la taille d'une clé, il y a toujours plus facile et plus rémunérateur à grapiller ailleurs s'il faut chercher de la place. (Je reste dans le cadre de la gestion ; les gars qui stockent les pétaoctets quotidiens du LEP peuvent avoir un avis différent.)</p>
<p>Pour l'initialisaiton avec des ordres de grandeurs différents : non, ça n'a aucun sens fonctionnel, c'est juste un « truc » pour le confort du développeur, qui doit passer après tout le reste évidemment, mais pourquoi s'en priver ? L'identifiant arbitraire doit être unique et sans sens fonctionnel, c'est tout ; qu'il soit incrémental ou aléatoire ou initialisé à des valeurs différentes est une décision d'implémentation pure.</p>Clé primaire de substitution ou clé naturelle ? - Jerome F.urn:md5:7a5044ff9e4658a501da0aebc2a276902009-09-05T10:18:08+02:002009-09-05T09:18:08+02:00Jerome F.<p>- L'utilisation de séquence nécessite de connaitre le nombre d'enregistrements que contiendra la table. En effet une séquence ça a une taille de stockage en mémoire, et lorsque cette taille est dépacée ça boucle, et alors toujours les dégats.<br />
Connaitre le nombre d'enregistrements futur d'une table n'est pas toujours simple.</p>
<p>- "Initialiser avec des ordres de grandeur différents" c'est remettre une donnée fonctionnelle dans la clé technique, cachée derrière un codage bien hermetique.</p>« Petit traité de l’imposture scientifique » d’Aleksandra Kroh - m.urn:md5:80f3ae7a348247cfb855899351cff4982009-07-25T11:23:09+02:002009-07-25T10:23:09+02:00m.<p>Etant médecin j'ai suivi les 3 années de formation en homéopathie, espérant trouver une logique à tout ça. Je confirme: Aucune logique ni explication rationnelle ne nous a été enseignée . L'homéopathie agit sur les maladies et symptômes qui sont sensibles à l'effet placebo. Mais c'est également le cas de nombre de médicaments classiques, dont l'action n'a pas été prouvée . L'homéopathie a le gros avantage de coûter peu à la Sécu par rapport aux médicaments classiques, et de ne pas avoir d'effets secondaires. Ce serait donc bête de s'en passer car dans certains cas, ça permet de "soigner"des cas difficiles et récidivants.</p>« Petit traité de l’imposture scientifique » d’Aleksandra Kroh - Le webmestreurn:md5:7e7505c59330c4243b4f12ff5caa8c592009-06-26T22:20:45+02:002013-03-30T09:42:38+01:00Le webmestre<p>@Cyb : Paf, marché dans le troll !</p>
<p>@vpo : Les décideurs de la Sécu qui ne sont pas assommés par le lobby des homéopathes doivent se dire que c'est pas cher pour des placebos qui, au moins, ne provoqueront pas d'effets secondaires.</p>« Petit traité de l’imposture scientifique » d’Aleksandra Kroh - vpourn:md5:3047582e7bff3b480d494bd4376836f32009-06-26T20:03:08+02:002009-06-26T19:03:08+02:00vpo<p>Ah non, l'homéopathie ça marche forcément, puisque la sécu le rembourse alors qu'elle dérembourse des médicaments dits de confort :-)</p>« Petit traité de l’imposture scientifique » d’Aleksandra Kroh - Cyburn:md5:5633e9d3a8cef6d7ff87855d1156cdc92009-06-26T09:13:34+02:002009-06-26T08:13:34+02:00Cyb<p>"lobby pétrolier anti-réchauffement climatique"</p>
<p>Les arguments d'en face mériteraient aussi d'être démontés... comme la fameuse "courbe en crosse de hockey" qui n'est rien d'autre qu'une vaste blague (cf <a href="http://www.pensee-unique.fr/" title="http://www.pensee-unique.fr/" rel="ugc nofollow">http://www.pensee-unique.fr/</a> ).</p>« Petit traité de l’imposture scientifique » d’Aleksandra Kroh - Kooorrgurn:md5:e4a272262c06d22eba6bd902e0513f402009-06-26T08:30:46+02:002009-06-26T07:30:46+02:00Kooorrg<p>The Demon-Haunted World, Science as a Candle in the Dark, de Carl Sagan. A lire !</p>Black out or not black out? - vpourn:md5:98db6073eb9de2a266ddf9121544c0a32009-03-12T11:50:21+01:002009-03-12T11:50:21+01:00vpo<p>Je ne parlais pas de fermer le site. Quand je suis allé sur le site d’Ashram j’y ai vu une page d’accueil expliquant le problème et ensuite je n’avais qu’à cliquer sur lien pour aller vers le site habituel.</p>
<p>En fait, sur l’écran LCD de mon laptop avec la lumière du néon ou de la fenêtre, ton site est quasi illisible : le gris clair sur fond noir est à la limite du visible.</p>
<p>D’où ma remarque su la punition de tes (millions de) lecteurs.</p>Black out or not black out? - Le webmestreurn:md5:f135f83fbdad26d9487ef80f84a5b9372009-03-11T20:50:17+01:002009-03-11T20:50:17+01:00Le webmestre<p>@vpo : C’est comme tout mouvement politique non violent, toute pétition, un appel à soutien… ça ne fait pas ch… directement les responsables mais ça ameute assez de citoyens pour qu’une part suffisante fasse assez de bruit pour que ça remonte aux oreilles des députés qui, du moins en démocratie et sur le principe, doivent tenir de la volonté du peuple pour espérer se faire réélire.<br />
Arrêter le site, oui ce serait punir les lecteurs. (À moins que tu insinues que mon site serait une véritable agression esthétique ?)</p>Black out or not black out? - vpourn:md5:d1f41181e5101cfd7f72347f6008aab92009-03-11T12:05:06+01:002009-03-11T12:05:06+01:00vpo<p>Et sinon, sur l’utilité de l’action, je me posais une question.</p>
<p>A part rendre les sites « blackoutés » tout moche et donc punir les lecteurs des dits sites, en quoi ledit blackout aurait un quelconque effet dissuasifs sur les députes / membres de l’exécutifs / etc… de ne pas continuer sur leur lancée?</p>
<p>Manifester, faire du bruit (i.e. la grand-messe du 20h00), bloquer des routes, etc… ça ennuie un gouvernement. Mais un blackout, même de milliers de sites sur Internet, je ne vois pas en quoi c’est efficace. Surtout que ce ne sont pas les sites institutionnels qui appliquent le black-out, bien sûr.</p>
<p>Je pense que le système d’Âshram est bien plus intéressant.<br />
Une page de garde pour exprimer le désaccord, et ensuite, hop, ce n’est pas le fidèle lecteur qui est ennuyé.</p>Black out or not black out? - boburn:md5:852b361adbaf8e5c4fcfbb1906c32b572009-03-02T18:36:43+01:002009-03-02T18:36:43+01:00bob<p>Un peu d’humour par rapport à ça (quoique…) <a href="http://www.youtube.com/watch?v=d82Lq2rVB_4" title="http://www.youtube.com/watch?v=d82Lq2rVB_4" rel="ugc nofollow">http://www.youtube.com/watch?v=d82L…</a></p>Black out or not black out? - boburn:md5:446e5694c29daa29c1b2bca4dd4a0bb72009-03-02T13:42:55+01:002009-03-02T13:42:55+01:00bob<p>Oui je crois que L’HAD0PI recherche les dommages collatéreaux. Car ils savent qu’il réussiront par la force et grâce à leur moyens.</p>Black out or not black out? - vpourn:md5:576a304b95bedcdd669fd9a2d9bb0a6c2009-03-02T11:33:19+01:002009-03-02T11:33:19+01:00vpo<p>La prochaine fois je lierai ton article jusqu’au bout quand je suis en meeting soporifique au lieu de donner un lien que tu as déjà donné!<br />
Donc n’hésite pas a poubelliser mon message précédent et celui-ci !</p>Black out or not black out? - vpourn:md5:abf5cc345da51c92b6f7e916051e71132009-03-02T10:46:42+01:002009-03-02T10:46:42+01:00vpo<p>Ce brave Maitre Eolas est plutot critique sur le black-out:</p>
<p><a href="http://www.maitre-eolas.fr/2009/02/27/1329-pas-de-blackout-chez-eolas" title="http://www.maitre-eolas.fr/2009/02/27/1329-pas-de-blackout-chez-eolas" rel="ugc nofollow">http://www.maitre-eolas.fr/2009/02/…</a></p>Black out or not black out? - Le webmestreurn:md5:4d34970e4417b62e06e43abac54221842009-02-28T14:43:09+01:002009-02-28T14:43:09+01:00Le webmestre<p>@bob : C’est triste mais la situation n’est pas joyeuse.</p>
<p>Pour ton gag sur les DRM : pareil, je me suis fait brûler par un morceau acheté en WMA sur la FNAC (alors que je ne voulais que du MP3 mais l’interface m’a enduit d’erreur). Va lire ça sous Linux sans violer techniquement deux ou trois lois débiles… Bref, j’ai acheté et j’achèterai encore de la zik en ligne… mais que des MP3 ponctuels, bientôt chez Amazon et autres vendeurs purs MP3 (on peut rêver pour le FLAC…), surtout pas d’album (ou alors carrément le CD, parfois d’occase). Voir aussi mon coup de gueule sur le jeu que j’ai acheté et qui ne fonctionne pas à cause des protections ( <a href="http://www.courtois.cc/blogeclectique/index.php?post/2008/11/07/373-derniere-fois-que-jachete-un-jeu" title="http://www.courtois.cc/blogeclectique/index.php?post/2008/11/07/373-derniere-fois-que-jachete-un-jeu" rel="ugc nofollow">http://www.courtois.cc/blogeclectiq…</a> )<br />
Mais tout ça c’était la DADVSI et ses conneries d’interdiction de faire sauter des verrouillages techniques qui ne gênent que les gens honnêtes…</p>
<p>Le cauchemar en cours, c’est l’HADOPI, la fameuse riposte graduée, un cauchemar à cause des dégâts collatéraux prévisibles (il y a pléthore de réseaux wifi ouverts à l’insu de leurs propriétaires), et totalement inefficaces puisque la technique (réseaux chiffrés… ou échange de disques durs entiers de DivX dans les cours d’école) auront toujours un énorme temps d’avance sur la loi.</p>
<p>À mon avis, il est impossible de réduire sérieusement le piratage de manière répressive et technique sans en même temps foutre aux orties présomption d’innocence, liberté d’expression et respect de la vie privée.</p>Black out or not black out? - boburn:md5:8351948d2b53edd1745db514be373d122009-02-28T14:08:59+01:002009-02-28T14:08:59+01:00bob<p>Au contraire ça me rend triste ce black-out…<br />
Pour anecdote. En 2007 comme il me restait un peu de sous je me suis dit. “Tiens je vais m’acheter de la musique par Internet, grande première”. Je fais une liste et j’achètes un morceau à la Fnac. Pas trop de bonne qualité (pour de la musique rippé par l’éditeur) mais bon. Je mets ce morceau sur mon balladeur numérique et là… Ca marche pas. Merdrrre, le téléchargement est poiré. Et là, le souvenir du DRM me reviens en pleine face comme une baffe !Je l’essaie sur un PC Wintel donc DRM-isé et là ça fonctionne. (le DRM est installé d’office et à votre insu sous Windows…)<br />
Mon balladeur ne lit pas les fichiers DRM-isé. Ha bin oui je suis obliger de cracker mon fichier DRM. Bon allons-y. Crackage et là miracle mon morceau de musique légalement acheté focntionne sur mon balladeur légalement acheté. Bon pour une première expèrience c’est plutot décevant me dis-je. Le DRM à produit l’effet inverse. Je n’acheterais plus jamais de musique en ligne.</p>Black out or not black out? - Wimasurn:md5:d2674cc05a8df9e08b50a25bbd3923782009-02-28T10:41:36+01:002009-02-28T10:41:36+01:00Wimas<p>Cela fait plaisir de voir un tel blog se “blackouter” ;)<br />
Excellente journée à tous !</p>Clé primaire de substitution ou clé naturelle ? - Le webmestreurn:md5:d1040f5845fdd7210cc86a4a366a5af32008-05-29T21:32:12+00:002008-05-29T21:33:51+00:00Le webmestre<p><b>@Balise</b> : Merci de me dire que je ne blogue pas en vain :'-) </p>
<p><b>@DrGoulu</b> : Je ne suis pas d’accord. Même si on pouvait faire tenir en mémoire l’intégralité de chaque base de données (et pour beaucoup d’applis c’est déjà faisable), la nécessité de poser et de rechercher des relations entre elles, et surtout de faire des requêtes ultra-tordues (genre SQL de 5 pages) rendra un moteur de base de données toujours utile. <br>De plus, une clé primaire n’est pas qu’un pointeur, c’est aussi une <i>contrainte</i>, un moyen de forcer les données à suivre une certaine organisation. Si la clé primaire est arbitraire (un identifiant), oui, ça se rapproche de la fonction de hachage, mais l’unicité qui porte sur le numéro de Sécu ou de client, elle, doit rester imposée. C’est le deuxième intérêt des bases de données : toutes les garanties d’intégrité (contraintes, <i>rollback</i>...).<br>Après, ça se décline suivant les besoins précis, ça évoluera avec la techno, qui évolue dix fois plus vite que l’évolution du logiciel de gestion standard (lequel, à la base, se satisfait du SQL !) ; mais le moteur de BdD sera toujours là. Je ne vois pas l’intérêt de redévelopper des systèmes de gestion des données complexes quand les moteurs sont dispo à volonté (de SQlite à PostgreSQL pour ne parler que du libre). Quant à BigTable de Google, c’est une base de données à leur sauce, destinée au gigantisme distribué, peut-être innovante, mais une base de données quand même.
<p><b>@vpo</b> : Et bien j’apprends des choses ! Pour le développeur qui a dû modifier les applis, je pense qu’il a surtout maudit les technos antédiluviennes et les schémas de données pré-jurassiques qu’il a dû manier.
<br>Pour les bases de données objet, depuis 10 ans que j’en entends parler, j’en ai jamais vu une tourner. Il faut croire que le schéma genre SQL est assez simple et assez puissant à la fois pour ne pas se faire déloger (après tout, un objet, ça se réduit en général à des propriétés, ça doit toujours finir par se sérialiser dans des tables SQL non ?). Je suppute des problèmes de perfs sur gros volume. Il paraît que le manque de standardisation de ce type de bases nuit aussi, je veux bien le croire. Bref, ça m’intéresserait de voir ça concrètement...Clé primaire de substitution ou clé naturelle ? - vpourn:md5:09729c24d2afba911c49a852f6952dec2008-05-29T10:50:33+00:002011-05-22T12:58:36+00:00vpo<p>@Webmestre:<br />
Tu as écrit:<br />
"Autre exemple de piège : le numéro de Sécurité Sociale, qui semble pourtant un parfait exemple de clé fonctionnelle immuable. Un numéro de Sécu peut changer (transexuels), n’existe pas pour tout le monde (enfants, étrangers...), et ne garantit pas l’unicité (cycle d’un siècle...)."<br />
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Ce n'est pas tout à fait exact. En fait le numéro de Sécu pour les enfants (on va prendre le cas usuel : enfants nés en France dont au moins un des deux parents a un numéro de Sécu) existe mais il n'est pas communiqué tout de suite mais doit l'être au plus tard au vingt ans de l'enfant. Je suppose que c'est par ce que le numéro Sécu étant justement la clé unique c'est plus facile de gérer "enfant bidule ayant droit de machin don le numéro Sécu est ..." plutôt que de gérer "Enfant bidule avec numéro de Sécu XXX droits ouverts car ayant droit de Machin dont numéro de Sécu...".<br />
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D'ailleurs, maintenant un enfant peut être sur le numéro de sécu de ces deux parents je me dit que le développeur qui a dû changer les applis côté sécu à dû modir le député qui a pondu la loi autorisant cela. Même si pour les familles c'est plus pratique. Ca évite de devoir emprunter la carte vitale de l'autre, etc... (plus cas des parents séparés si la môme est malade le WE chez celui qui n'a pas la garde, etc...)<br />
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Enfin (grande) aparté:<br />
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En DESS notre responsable qui bossait avec l'IGN avait développé un modèle de base de donnée objet appelé HBDS. Avec des classes, des objets, des liens entre objets et des foncteurs pour parcourir les liens. Modèle théorique très puissant où la notion de clé disparait complètement. Méthode basé sur la théorie des graphes (d'ailleurs HBDS siginifie HyperGraph Based Data System ou un truc dans le genre).<br />
Je n'avais jamais vu d'implémentation de bout en bout de tout son système. Néanmoins, une recherche google m'a montré dernièrement qu'une boîte qui édite des SIG (Système d'Info Géographique) annonçait que sa nouvelle version de soft gérait à fond le HBDS. Je suppose que des gars de mon DESS ont dû être embauchés :-) Maintenant, je ne sais pas si ils ont implémentés le bidule sur un SGBDR en dessous.<br />
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Car j'ai souvenir que des bases objets comme 02 n'était qu'un (gros) front-end mais avec un moteur relationnel en dessous.<br />
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vincent le murphyprosien.<br />
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ps: Petite aparté l'article Numéro de Sécu dans Wikipedia est instructif, à ce sujet.</p>Clé primaire de substitution ou clé naturelle ? - Baliseurn:md5:a69b29eb2976ba26d09e5ecc152f1a2e2008-05-28T23:58:03+00:002008-05-28T23:58:03+00:00Balise<p>Bon alors tu as au moins une lectrice qui a lu, compris et même vaguement réfléchi (en se disant "han, c'est pas con, j'y avais jamais pensé") à l'intégralité du post. Et je vois pas ce qu'il a de non pratique, ce post... en tous cas achement intéressant, mici :p</p>Clé primaire de substitution ou clé naturelle ? - Dr. Gouluurn:md5:5233215e1b55385abaaa74b28132ffb92008-05-28T23:55:24+00:002008-05-28T23:55:24+00:00Dr. Goulu<p>Les bases de données ne sont que des structures de données persistantes, originaires d'une lointaine époque où l'espace mémoire (RAM) était trop petit pour les manipuler directement. Dans ce contexte, une clé de substitution n'est rien d'autres que l'équivalent d'une adresse en mémoire, éventuellement avec un niveau d'indirection représenté par l'index. Une clé "primaire" peut être vue comme le paramètre d'une fonction de hachage qui renvoie l'adresse physique, ce que font en interne les bases commerciales citées. <br />
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Des "bases" utilisant les OS 64 bits, et peut être un jour les "SASOS" (Single Adress Space Operating Systems) renverra tous ces gentils SAPistes et Oracleurs à la case départ : algorithmes et structures de données. Ce type de réflexion est à la base du "BigTable" de Google, qui stocke des pétabytes répartis sur de milliers de machines, et ça marche plutôt bien... </p>