Blog éclectique & sans sujet précis - Mot-clé - métainformation - Commentaires<p>Si ça me passe par la tête, si ça n’intéresse que moi, alors c’est peut-être ici. Ou pas.</p>2024-02-13T09:44:49+01:00L'éditeur est le propriétaire du domaineurn:md5:bf83720a7189bba489682d945b972671Dotclear9 mois pour une mutuelle (vive l’informatique moderne) - nathurn:md5:73c9305f0c2ea8adcdfc96949a16c35b2019-05-20T12:13:01+02:002019-05-20T21:17:45+02:00nath<p>A elle est belle la modernité et le contact. Vous écrivez vous téléphoner et bien rien ne fonctionne. Non rien, c'est entreprise ont en rien à foutre de vous mettre dans la M....<br />
Elle sont là juste pour engrangé de nouveaux contrats, à prendre l'argent mais ensuite rien à foutre de vos problèmes. Personne ne fait sont travail comme il le faut. Aucune empathie, aucun suivi. Toutes ces lois pour faire quoi.... Rien on vous oblige à prendre des assurances mais derrière tout cà il ne se passe rien. Soit vous devez payer le prix max pour une couverture qui semble correct, soit vous êtes pauvres et vous avez plus que vos yeux pour pleuré. On dit être bien lotis en France, n'ayez pas de problème de santé surtout. Surtout ne changer pas trop de travail, car ensuite pour se voir radié d'une mutuelle puis reprendre la mutuelle obligatoire de votre nouvelle boite c'est le parcours du combattant....<br />
A toute ces sociétés qui font que du frique, remontez vous les manches il y a du boulot et ça déjà à l'ouverture de votre couverture sociale = L'écoute.</p>9 mois pour une mutuelle (vive l’informatique moderne) - Le webmestreurn:md5:2aeec8089af06f2dd4516f00bca3b5182016-04-06T18:55:34+02:002016-04-06T17:55:34+02:00Le webmestre<p>@Gaelle : ça n’avait pas pris 3 ans mais bien 9 mois. Si ce n'est pas facilement résolu, le courrier à la Sécu est sans doute le plus efficace. Je suppose qu’ils commencent à les connaître, ces zigotos.</p>
<p>Et effectivement, il faut soi-même pointer ses remboursements, ils ne sont pas "proactifs" (pas leur intérêt mais surtout pas de mentalité de service).</p>
<p>Une autre entité de mon employeur a suivi cette année le même processus que moi (venant d’une autre mutuelle) : c’est un bordel sans nom. D’accord, c’est un domaine complexe avec pas mal d’ayants droits et dossiers spécifiques, mais il est hallucinant que tant de cas simples posent problème, que les sites webs tombent, que la communication soit zéro. Je reste partisan d’une Sécu à 100% et que ces mutuelles disparaissent.</p>9 mois pour une mutuelle (vive l’informatique moderne) - Gaelleurn:md5:b7cb9b192cdd4163e6dbf1ec0fbc899f2016-04-06T17:57:57+02:002016-04-06T16:57:57+02:00Gaelle<p>J'ai le même problème !</p>
<p>J'avais obtenu un remboursement par ma nouvelle mutuelle, GRAS SAVOYE, puis suite a des visites chez le médecin, après plusieurs semaines, pas de remboursement.<br />
Au bout d'un mois, je contacte GRAS SAVOYE.<br />
Ils m'expliquent que l'ancienne mutuelle (AG2R LA MONDIALE) n'a pas mis fin a la connexion NOEMIE d’où l'absence de remboursement...<br />
Personne ne m'avait prévenue !!! Sans parler du manque d'amabilité systématique des employés GRAS SAVOYE au téléphone... (constaté 4 fois hélas a plusieurs mois d'intervalle) Brefffff.</p>
<p>Je recontacte donc mon ancienne mutuelle (AG2R LA MONDIALE), dont les employés, eux, sont toujours aimables (amusant contraste).<br />
Ils m'expliquent qu'ils relancent cette demande de déconnexion qui aurait pourtant été faite en temps et en heure.<br />
A leur demande, je leur fournis mon attestation vitale pour qu'ils puissent vérifier que le code de gestion ou organisme de rattachement (j'avais changé de département). 3 semaines après, ça traine encore.<br />
Je comprends donc, a la lecture des autres postes, que je vais attendre 3 ans...<br />
Que nenni, je les harcèlerai avec amabilité mais constance toutes les semaines puisqu'il n'y a que ça qui marche en France !</p>
<p>J'enverrai peut-être un courrier a la CPAM de Nice également puisque ça semble avoir fonctionné pour d'autres.</p>
<p>Je fais le tour du Web sur la question et Gras Savoye revient sans cesse dans les discussions...bizarre, vous avez dit bizarre....</p>9 mois pour une mutuelle (vive l’informatique moderne) - Le webmestreurn:md5:b97ecee052d906343d01c628c204ccc12015-01-31T16:44:19+01:002015-01-31T16:44:19+01:00Le webmestre<p>@KENZO : Quand on insulte publiquement une personne ou une entité sans contexte préalable, on fournit au moins des exemples, un lien, un argument...</p>9 mois pour une mutuelle (vive l’informatique moderne) - KENZOurn:md5:a497dda5e623aeca56152527db5d8fe52015-01-31T09:22:18+01:002015-01-31T09:22:18+01:00KENZO<p>bonjour,<br />
VIVINTER est un trés mauvais gestionnaire de mutuelle ,il faut fuire ce système .C'est le groupe st Honoré de vrais escrocs .<br />
J'ai plein de réclamation à leur sujet<br />
cordialement<br />
sui KENZO</p>BO : les bons côtés - Le webmestreurn:md5:ff1cd5ade6bf533221a88f45c87c352e2013-03-19T19:50:19+01:002013-03-30T09:42:57+01:00Le webmestre<p>@fleurette : il s’agit de LiveOffice, plugin pour Office qui permet d'insérer des tableaux (arbitrairement complexes) et des graphiques (pas des documents entiers) dans un document Office (Word, Excel, Powerpoint) et de les rafraîchir d'un clic. On peut mettre à jour une feuille Excel ou un graphique dans Powerpoint comme ça. Il est possible aussi de faire une petite requête sur une univers et de l'insérer dans Excel.</p>
<p>Et en plus ça marche bien.</p>
<p>L'authentification de l'utilisateur auprès de BO se fait via le paramétrage dans Office une fois pour toute.</p>
<p>Techniquement, derrière, ce sont des Web services java.</p>BO : les bons côtés - fleuretteurn:md5:8ce85d135a4ce145906824f9c05416f32013-03-19T16:01:32+01:002013-03-19T16:01:32+01:00fleurette<p>a un moment donner , on parle de plugin qui permet de prendre les rapport BO sur powerpoint , est ce que je peut avoir une piste la dessus svp</p>Comment ne pas utiliser une base de données - Le webmestreurn:md5:89a8a5a60b35d88ed0b88097353b3fc42013-03-01T18:12:01+01:002013-03-01T18:12:01+01:00Le webmestre<p>@HugeBear : Typique du travail de porc de quelqu'un qui ne s'occupe pas de la maintenance. Comme un garagiste qui réparerait un problème de freins avec du scotch, et bonne chance au suivant. À fusiller.</p>Comment ne pas utiliser une base de données - HugeBearurn:md5:431ac6daf142ce6adb8ac25056fa5f182013-03-01T10:57:32+01:002013-03-01T10:57:32+01:00HugeBear<p>Salut,<br />
Je viens bien après la bataille, mais j'ai des heures a tuer en ce moment.<br />
C'est un Débat que j'avais avec un Dev c# (comme ca y a pas que java qui va prendre), il se servait de ma base comme d'un cache pour ces objet, il avait besoin de mémoire et me déposait ces "dataset" en base. Pour lui il n'avait que quelques jour de dev facturés et pas le temps de s'occuper d'optimiser son code. Sa réponse : "Ca marche, c'est validé, je suis facturé, je me casse... Bonne chance au suivant".<br />
Problème, il ne gérait pas les données. Résultat la base explosait 5 fois par jour. les tablespaces explosait et la moitier du réseau tombait.</p>
<p>Un grand moment,</p>
<p>la blague, c'est lorsque j'ai repris le code, il stockait des vues de tables de la base ( en select * ... )... pour un champ. et j'en passe</p>9 mois pour une mutuelle (vive l’informatique moderne) - Mishkaurn:md5:184a33978e8e88136eb5a3eb307768842011-12-19T11:11:04+01:002011-12-19T11:11:04+01:00Mishka<p>Bonjour!</p>
<p>Et bah voilà que nous sommes dans la même situation mais depuis 2 ans!!!<br />
Sauf que c'est uniquement pour mon fils de 6 ans que la connexion ne se pas passée comme il faut, pour trois autres dans la famille c'était correcte mais pas pour lui !</p>
<p>Innombrables courriers, mails, appels, rdv à la sécu ! Et à chaque fois soit silence radio, soit la phrase "on va s'en occuper"!</p>
<p>Au bout de ces mois on avait réussi quand même d'obtenir la déconnexion de l'ancienne mutuelle de la sécu et activation de lien sur Vivinter. Sauf que la Sécu n'est toujours pas connecté dessous ! Et cela fera 2 ans dans quelques jours......</p>BO : les bons côtés - Le webmestreurn:md5:3faff2906e48345bbc335a34d65707322011-12-15T21:09:41+01:002011-12-15T21:09:41+01:00Le webmestre<p>Je ne connais pas les outils MS (non que je les trouve inintéressants mais je n'ai tout simplement pas le temps). Un collègue m'a juste dit qu'avec SSIS (quelle version ?) il avait dû se rabattre à tout faire exécuter dans la base à coup de SQL. Des ETL il y a pléthore, la concurrence est vaste.</p>BO : les bons côtés - Wazturn:md5:4f45dcab4effc1d912df36f37b1c708b2011-12-15T18:02:16+01:002011-12-15T18:02:16+01:00Wazt<p>Bonjour<br />
merci pour ce super site,<br />
j'ai une questions : Qu’es-que vous pensez de la partie ETL de Microsoft (Sql Server Integration Services 2005-2008) et SSAS 2008 ? par rapport a BO<br />
est-il performant ? ou je devrai passer a BO ?<br />
Merci</p>9 mois pour une mutuelle (vive l’informatique moderne) - Le webmestreurn:md5:f84726eb91707792a5b5ce74f55d76802011-03-21T19:35:09+01:002011-03-21T19:35:09+01:00Le webmestre<p>@Steph : C’est beau la transparence, dis donc...</p>
<p>@vpo : Qu’il faille encore distinguer entre différentes caisses en 2011 est hallucinant. Une base regroupant tous les Français, au moins pour ça, c’est pas grand-chose de nos jours (à l’échelle d’un monstre qui coûte des centaines de milliards comme la Sécu).</p>9 mois pour une mutuelle (vive l’informatique moderne) - vpourn:md5:03c1013ac730fb6c9bd8f7890b4a3c052011-03-20T22:58:10+01:002011-03-20T22:58:10+01:00vpo<p>Quand j'ai déménagé dans le grand sud, j'ai eu le droit à un truc cocasse.<br />
Pour une raison inconnue, la complémentaire santé de mon nouvel employeur a été enregistrée MAIS pas sur mon nouveau centre de sécu mais sur l'ancien dont je dépendais.</p>
<p>Je ne m'en suis pas rendu compte tout de suite car ma fille nouvelle-née à l'époque était sur la sécu de sa mère, toutes les deux aussi sur ma mutuelle : je voyais donc passer des remboursements.</p>
<p>C'est le jour où je me suis coincé les cervicales et que je ne voyais pas venir le remboursement des séances de kiné que j'ai vu le problème. La sécu des alpes maritimes me remboursait bien, mais la mutelle ne voyait rien venir car elle ne remboursait que des dépenses enregistrées par la sécu des yvelines, ce qui était impossible puisque bien sûr toutes mes dépenses de santé étaient gérées par la sécu azuréenne.</p>
<p>Il m'a fallu exhumer tous mes relevés de sécu (heureusement que je ne jette jamais rien au grand damne de Madame :-)) pour me faire rembourser. Il me manquait un ou deux trucs. Et dans sa grande bonté, la téléopératirce de la sécu m'a a fourni un duplicata "de façon exceptionnelle hein par ce que normalement on n'a pas le droit".</p>9 mois pour une mutuelle (vive l’informatique moderne) - Stephurn:md5:6e29fca42c793846e426a72c0d3c4e512011-03-20T20:21:24+01:002011-03-20T20:21:24+01:00Steph<p>Je ne peux que compatir... quand on a fait rattacher la dernière à la mutuelle, ça a fait sauter le lien Noémie du premier. Impossible d'avoir les deux ensemble... Après 3 couriers, ça s'et réglé aussi, mais va savoir qui a buggé (c'est toujours la faute de l'autre).</p>
<p>Autre truc vu avec cette mutuelle, mais un peu différent. Basiquement, on veut savoir quels taux de remboursement sont garantis. Rien que du normal, quoi. Mais c'est une mutuelle de groupe, l'employeur ne communique pas le contrat, tout au plus il nous renvoie sur un obscur affichage non précis dans le couloir; et la mutuelle nous renvoie chez l'employeur si on veut des détails.</p>
<p>On sait qu'on a une mutuelle, mais impossible de savoir à quels taux on sera remboursés pour chaque dépense de santé. A chaque fois c'est quitte ou double. Là on va avoir l'appareil dentaire du grand, j'ai hâte d'avoir la surprise...</p>« Pour la Science » d’octobre 2010 - fal 72urn:md5:2bd5c0f4d438473b868479682fbb851f2010-11-02T04:41:10+01:002010-11-02T04:41:10+01:00fal 72<p>pour les muscle je sais pas ou t'as vu ca mais par experience je peux t affirmer qu ayant glisse dans la salle des operateur systeme de ma boite j ai voulu par reflex m aggripper au monstre qui contient le processeur os 2 qu on loue 1,5 millions d euro a ibm et bien meme a ce prix la il ma honteuseument retourne le bras dans une position que je ne me savait pas capable de lui donner. j avoue un mainframe m a fait une prise de judo et m a envoyê au tapis. moralite epaule cassêe et 3 dechirement au niveau os ligament bicep triceps et dorsal. bon 4 mois de congê aussi tout ne va pas si mal. mais pour en revenir aux muscle si il a une memoire ca doit etre celle d une vie enterieur parceque ca fait 2 semaines que j'hurle chez le kinê pour essayer de lever mon bras comme un premier de classe et tout ce que j arrive a faire c est le salut nazi what a shame alors il se souvient peut etre de la vafen ss mais qu il etait le clint eastwood de la souris que dalle. alors sa ram mon muscle je l'e....... ciao</p>BO : les bons côtés - Le webmestreurn:md5:1babf8b51e3a7a832e11b4e03dcf70b42010-10-20T21:54:30+02:002010-10-20T20:54:30+02:00Le webmestre<p>@pertemoune : je parierais qu'il existe des biar quelque part sur le serveur contenant justement ces choses là. A importer. Sinon, récupérer ça d'une deuxième installation parallèle via un biar.</p>
<p>Pour la connexion d'audit, ce sera plus fun. Mais si ça se trouve, c'est juste celle qui est liée à l'univers Activity, pas la « vraie » connexion d'audit définie dans la CCM, donc il suffira de la reparamétrer dans Designer.</p>BO : les bons côtés - pertemouneurn:md5:4e59bcf1de9c665e25e517c2fe0957fb2010-10-20T11:28:40+02:002010-10-20T10:28:40+02:00pertemoune<p>Merci beaucoup pour ces informations.</p>
<p>Si vous le permettez j'ai encore une question:</p>
<p>Un malin dans ma boite à supprimer :</p>
<p>Des dossiers publiques tel que: Feature Samples<br />
Des univers tel que: Activity<br />
Des connexions tel que : Auditing Connection</p>
<p>Comment pourrais-je les recréer ?</p>
<p>J’ai pensé à une mise à jour de l’installation, mais je ne suis pas sûr que ça fasse l’affaire, ni que ça ne fera pas plus de dégât.</p>
<p>Merci encore.</p>BO : les bons côtés - Le webmestreurn:md5:6eaa5237f4e6575a992c5b2e3a90ac7f2010-10-20T07:19:17+02:002010-10-20T06:19:17+02:00Le webmestre<p>@pertemoune :</p>
<p>1) ETL : Mon préféré reste ODI (Oracle DI, ancienneement Sunopsis), qui n'a pas de moteur et s'appuie sur les bases SQL, mais il est devenu cher. J'ai des collègues qui aiment beaucoup Talend, on peut tout programmer avec et il est gratuit, mais y a quand même des lacunes pour le peu que j'en ai vu. DI de BO me rappelle de mauvais souvenirs et je connais peu de gens qui l'aiment. Informatica est une Rolls hors de prix, pour les gros volumes (je le déteste pas), je connais des fanatiques.<br />
Certains se contentent de vues et de scripts, ça dépend de l'hétérogénéité des systèmes impliqués.</p>
<p>2) Pour les sauvegardes, faire les deux : l’export par BIAR est le plus sûr et complet, et facilement récupérable ensuite, mais c'est pas ou peu scriptable (un scandale !) ; alors que la copie complète du FRS+du référentiel SQL associé synchrone est sûr, scriptable, mais impose de remonter une instance complète en cas de besoin de récup.</p>BO : les bons côtés - pertemouneurn:md5:f38c97864278bc077c0046c9d69ad8b82010-10-19T17:59:28+02:002010-10-19T16:59:28+02:00pertemoune<p>bonjour,<br />
merci pour ce site, super riche en informations utiles.<br />
j'ai deux questions pour vous:<br />
1- Les ETL, j'aimerai avoir votre avis, lequel vous choisirez (DI de BO, Talend, Informatica,...).<br />
2- Les sauvegardes nécessaires pour un serveur BO, certains sont pour les fichiers Biar et les autres parlent des FRS et autres fichiers de confige.<br />
merci</p>La Guerre des ERP : SAP vs Oracle Applications (5) : Schémas de données - Le webmestreurn:md5:e19b986daf1968df7964216cafd269402010-06-15T19:18:12+02:002010-06-15T18:18:12+02:00Le webmestre<p>@Arialia : Ah, SAP n'a pas le mérite de la souplesse, et surtout veut que tout passe par lui, et à sa sauce. Quant à s'intégrer à l'ergonomie du XXIè siècle… ils savent pas faire.</p>
<p>Au passage, il y a un inconvénient aux jolies interfaces fonctionnelles à façon : elles sont souvent spécifiques, donc soit à maintenir en interne, soit faites par un plus ou moins petit éditeur qui, lui, a forcément d'autres failles, le premier étant le manque de ressources disponibles sur le marché sur son produit (alors que du personnel SAP, chaque SSII en a).</p>
<p>Quant à Ciel ou autres, j'ai lu assez de messages d'horreur à leur sujet, mais je ne connais pas de première main. Ce n'est pas le même marché. Ce qui n'est pas une excuse pour SAP, l'ergonomie est universelle (ou devrait l'être). Mais l'investissement ne se justifie pas puisqu'on vend à des gens qui jugent les fonctionnalités, pas l'utilisation quotidienne (le contraire du particulier ou du petit entrepreneur).</p>
<p>Ah oui : se passer des programmeurs est possible même avec SAP. Mais il faut décider de se limiter à ce que sait faire le produit. Et il faut quand même le paramétrer. Éternel débat entre prêt-à-porter et sur mesure :-) (Réponse rapide : prendre du standard quand ce n'est pas le cœur de métier, faire du spécifique quand on a de bonnes compétences ou que c'est un point qui permettra de se différencier de la concurrence.)</p>La Guerre des ERP : SAP vs Oracle Applications (5) : Schémas de données - Arialiaurn:md5:c98c07772b94426fad881c11a71843802010-06-15T11:40:14+02:002010-06-15T10:40:13+02:00Arialia<p>Merci beaucoup pour cet article très intéressant.</p>
<p>Je comprends enfin ce qu'est SAP et plains tout ceux qui ont à migrer des 'ERP' maisons vers SAP, mon mari est dans ce cas et je comprends maintenant son désarroi et celui de ses collègues utilisateurs habitués depuis 2000 à de jolies interfaces fonctionnelles et réalisées en fonction de leurs besoins, tout ça parce qu'un commercial à réussi à vendre SAP à un haut dirigeant qui n'a même pas vu le produit ...</p>
<p>Il m'a parlé des limitations d'interrogation de Sap où tout doît être prévu à l'avance, quelle régression face à la solution SGBDR/application spécifique/Infocentre (Bi-Query ou Bussinessobject avant son rachat)</p>
<p>Si au moins SAP fournissait quelque chose clés en mains du genre les logiciels de Ciel qui aurait permis de se passer des programmeurs , mais c'est apparemment loin d'être le cas ...</p>
<p>Bref quel intérêt de prendre SAP?</p>Clé primaire de substitution ou clé naturelle ? - Le webmestreurn:md5:38ecc6845ff521625ffd91fb2fcd4b102010-06-14T18:42:40+02:002010-06-14T17:42:40+02:00Le webmestre<p>@Nad : Le numéro de sécu ne doit pas être stocké car considéré comme une donnée personnelle, donc privée. Mais dans les cas légitimes où il est utilisé, il est effectivement utilisé comme clé, faute de mieux ; par exemple quand un employeur communique avec les mutuelles ou les caisses de retraite.</p>
<p>Aux États-Unis n'importe qui est susceptible de bous demander votre numéro de sécu pour l'intégrer à des fichiers qu'il revend, ce qui ouvre la porte à pas mal d'escroquerie par usurpation d'identité. Pas de ça chez nous (en tout cas pas à la même échelle).</p>Clé primaire de substitution ou clé naturelle ? - Nadurn:md5:f9b2144da0300ca6713bc8938e0d0b932010-06-14T11:50:51+02:002010-06-14T10:50:51+02:00Nad<p>N'est-il pas interdit d'utiliser le numéro de Sécurité Sociale dans une base de données privée. Cela faciliterait l'échange de données inter-entreprise.</p>BO : les bons côtés - Pierreurn:md5:c2b8a57d7e4b9695048d11cdc586ecf12010-05-27T11:31:20+02:002010-05-27T10:31:20+02:00Pierre<p>Que la conclusion est pleine de sens !</p>Les noms et codes des projets et programmes - stehanefialkowski@yahoo.frurn:md5:947425cba4cb04902d88b279ca05f7972010-04-16T13:41:16+02:002010-04-16T12:41:16+02:00stehanefialkowski@yahoo.fr<p>Bonjour,</p>
<p>J'ai la même problématique que YACOUBA, à l'époque, je vais lancer un projet stratégique pour mon entreprise comportant également deux volets: mise en place d'un plan d'actions pour diversifier notre activité combiné à une réorganisation interne de nos processus de fonctionnement. j'aimerai trouver un nom de projet fédérateur amenant une dynamique.<br />
J'avoue que je sèche depuis trois jours, auriez-vous une idée?</p>
<p>Merci d'avance pour votre aide.</p>La Guerre des ERP : SAP vs Oracle Applications (5) : Schémas de données - Le webmestreurn:md5:74944b3819903b0de9d1b920a726cc202010-02-18T18:58:19+01:002010-02-18T18:58:19+01:00Le webmestre<p>@lookcheed : C'est une blague ? L'amoncellement de spécifiques est un défaut propre à l'organisation et non au logiciel. J'ai connu des clients qui avaient tellement patché SAP qu'ils étaient incapables de migrer aux nouvelles versions, il a déjà fallu remigrer à la version classique.<br />
Quand au spécifique buggé, c'est pire sous SAP à cause de ce langage de merde qu'est l'ABAP (y a plusieurs billets sur le sujet).</p>La Guerre des ERP : SAP vs Oracle Applications (5) : Schémas de données - loockheedurn:md5:d2840a61690da860fd709129d480e9992010-02-17T11:59:30+01:002010-02-17T11:59:30+01:00loockheed<p>Oui SAP est destiné au business et pas au developpeur. Au moins avec SAP on se retrouve pas avec une montagne de dev specificique buggé et inexploitable.</p>Clé primaire de substitution ou clé naturelle ? - Le webmestreurn:md5:0cdbe7af3cbd70e7c220de00f94a64ea2010-01-04T22:59:22+01:002010-01-04T22:59:22+01:00Le webmestre<p>@CF Marc : Donc tu as une clé arbitraire digne de ce nom, et une clé « alternative » qui de fait est unique, généralement non nulle, et qui porte donc les contraintes légales/fonctionnelles sur ce numéro. Normal et classique.</p>
<p>Pour les GUID, mon objection principale porte effectivement sur le confort du développeur. Si tu as à l'aise, tant mieux, mais j'ai personnellement du mal à lire des clés monstrueuses. Les requêtes pour y accéder ne posent pas de problème, si ce n'est que parfois une traque de bug porte sur la cohérence ou l'absence de lignes, et qu'il faut parfois « pointer » différents identifiants pour les tracer et savoir quelle jointure les fait « sauter » d’une requête. Question de goût et de domaine précis évidemment.</p>Clé primaire de substitution ou clé naturelle ? - CF Marcurn:md5:78e92834379a2fc05654ae353693dafc2010-01-04T17:36:51+01:002010-01-04T17:36:51+01:00CF Marc<p>Tout d'abord, je trouve cet article très intéresant.<br />
Pour ma part je suis partisant des 2 modes de gestion, d'ailleurs lors de mes différents développement j'utilise à la fois la notion de clé technique et celle dite fonctionnelle.<br />
La clé technique me permet de définir mes relations entre table et la fonctionelle me permet de définir les contraintes fonctionelle d'un enregistrement unique au sein d'une table.<br />
Et pour corser le tout j'utilise toujours des GUID comme clé technique :). C'est vrai que ce type de clé n'est pas très lisible mais dans la pluspart des cas c'est le programme qui la lit et non moi. Si je dois accéder à une information j'utilise le SQL, je ne vois donc pas en quoi l'utilisation de tels clés est un cauchemar pour le développeur.</p>Checklists - Jerome F.urn:md5:b4e81b1801f0e888611fe34b2910da7a2009-09-05T12:06:46+02:002009-09-05T11:06:46+02:00Jerome F.<p>Comme traduction je propose "liste de pointage"</p>Clé primaire de substitution ou clé naturelle ? - Le webmestreurn:md5:09f3ab67dbe7e289ed44a6d1d27b2def2009-09-05T11:47:08+02:002009-09-05T10:47:08+02:00Le webmestre<p>@Jerome F : Pour la séquence, toujours prévoir très large. En application de gestion, une séquence qui va allègrement chercher dans les milliards suffira pour l'avenir prévisible. Mais l'argument est bon et peut servir à défendre des clés genre UUID 64 bits à la SAP-CRM (ça reste quand même une abomination). Pour la taille de stockage, je ne pense pas qu'elle doive influer sur la taille d'une clé, il y a toujours plus facile et plus rémunérateur à grapiller ailleurs s'il faut chercher de la place. (Je reste dans le cadre de la gestion ; les gars qui stockent les pétaoctets quotidiens du LEP peuvent avoir un avis différent.)</p>
<p>Pour l'initialisaiton avec des ordres de grandeurs différents : non, ça n'a aucun sens fonctionnel, c'est juste un « truc » pour le confort du développeur, qui doit passer après tout le reste évidemment, mais pourquoi s'en priver ? L'identifiant arbitraire doit être unique et sans sens fonctionnel, c'est tout ; qu'il soit incrémental ou aléatoire ou initialisé à des valeurs différentes est une décision d'implémentation pure.</p>Clé primaire de substitution ou clé naturelle ? - Jerome F.urn:md5:7a5044ff9e4658a501da0aebc2a276902009-09-05T10:18:08+02:002009-09-05T09:18:08+02:00Jerome F.<p>- L'utilisation de séquence nécessite de connaitre le nombre d'enregistrements que contiendra la table. En effet une séquence ça a une taille de stockage en mémoire, et lorsque cette taille est dépacée ça boucle, et alors toujours les dégats.<br />
Connaitre le nombre d'enregistrements futur d'une table n'est pas toujours simple.</p>
<p>- "Initialiser avec des ordres de grandeur différents" c'est remettre une donnée fonctionnelle dans la clé technique, cachée derrière un codage bien hermetique.</p>Checklists - Le webmestreurn:md5:7a38df3cbb5bb5089bbca240e0bff21b2009-09-02T20:35:17+02:002009-09-02T19:35:17+02:00Le webmestre<p>@FredericLN : Comme quoi les grands succès résident souvent plus dans une réalisation méticuleuse que dans de véritables coups de génie.</p>Checklists - FrédéricLNurn:md5:3f1e1b069ac609943593fc5cac47a4672009-09-01T20:19:30+02:002009-09-01T19:19:30+02:00FrédéricLN<p>Il y a une petite différence avec les to-dos, mais je ne résiste pas au plaisir de citer le designer de la campagne web Obama : "Quelque chose d’aussi grandiose qu’une campagne présidentielle a pu être réalisé rien qu’en cochant les listes de choses à faire (checking off to-dos)."</p>Checklists - Le webmestreurn:md5:fa8b5633a0be72337bdb542bf1d027072009-08-31T19:59:23+02:002009-08-31T18:59:23+02:00Le webmestre<p>@Eric : Ouais, pareil... La formalisation lourde qui semble inutile est vite pénible. Et pourtant dans certains cas...</p>Checklists - Eric C.urn:md5:632c7983c29d48b3a9c2ce94471ed88b2009-08-31T18:01:28+02:002009-08-31T17:01:28+02:00Eric C.<p>Ah, je vois que je ne suis pas le seul à être un peu schizo sur ce point précis. J'aime également mettre en place des méthodo de travail bien formalisées, mais je n'aime pas les appliquer par la suite.<br />
Et quand je débarque dans un domaine que je connais mal et que je vois que rien n'a été formalisé, çà m'énerve.<br />
Si tu connais un remède ...</p>Checklists - Le webmestreurn:md5:9ad96efa573b1c4b9fb247727117261c2009-08-25T09:43:10+02:002009-08-25T08:43:10+02:00Le webmestre<p>@jid : À l'échelle du 1/4 h ? Ouille, ça c'est découpé !</p>
<p>@Steve : mouais, je préfère encore le littéral « liste de contrôle ».</p>
<p>Sinon démonstration de l'efficacité des CL dans le champ médical dans un des derniers épisodes d'Urgences, celui où Carter se fait opérer et où Benton dégaine la liste : le personnel s’aperçoit dès le début d’un stock bas d’une substance quelconque, ce qui est crucial par la suite.</p>Checklists - Steve Schneppurn:md5:1e1f874a912a63c8b411df5109feeff12009-08-24T15:18:55+02:002009-08-24T14:18:55+02:00Steve Schnepp<p>check-list : vérifications enchaînées ?</p>
<p>Bon c'est pas vraiment une traduction littérale, mais ca traduit assez bien l'idée. (Il y a même une certaine poésie du "prisonnier de la feuille"... )</p>Checklists - jidurn:md5:3cecc957e29776bb1bdd21d8934087222009-08-24T10:57:19+02:002009-08-24T09:57:19+02:00jid<p>Chez nous, il y a des check-list avec pleins de livrables dont un chrono de mise en production.</p>
<p>Notamment lors d'un chantier informatique démentiel (chiffré en siècle-homme), le chrono était suivi par des "tours de contrôles" avec suivi des tâches au quart-d'heure près...</p>Les noms et codes des projets et programmes - BBurn:md5:a651d3f274480b0439995897960439af2009-06-24T11:02:36+02:002009-06-24T10:02:36+02:00BB<p>RAIPIC, RAIsing Pigs and Cereals, si on veut la faire en anglais, ou PC2 Production de Cochons et Céréales pour succéder aux amateurs du Colonel Ffabien.</p>
<p>autrement, j'ai travaillé sur un projet VALSTAR, j'ai nommé un MORE (ou MARE) qui a echoué.<br />
Dans ma boite, nous avons eu un moment des serveurs nommés arrakis, belgarath, anakin etc...<br />
Bon, c'était joli, mais à l'usage de tous les jours, suadxxxx ou suarxxxx ou hpapxxxx c'est plus pratique pour les informaticiens. Et toujours à l'usage, des noms de programmes normalisés ça aide, passé les premières minutes d'effarement.</p>
<p>En revanche pour les noms de projets, un peu de créativité c'est bien. :)</p>Les noms et codes des projets et programmes - vpourn:md5:3f151e5eb5a2fbbdb491b2ea2cea23362009-06-23T15:08:58+02:002009-06-23T14:08:58+02:00vpo<p>J'aime bien Épigroin. Et puis ça permet de faire des jeu de mots comme<br />
"Epigroin encore ?"</p>
<p>Je sais c'est nul, je ---><a href="https://www.coindeweb.net/blogsanssujetprecis/index.php?post/2006/09/03/" rel="ugc nofollow"></a></p>Les noms et codes des projets et programmes - Le webmestreurn:md5:364ba2fd1b78b63ad908065388688df02009-06-19T21:16:15+02:002009-06-19T20:16:15+02:00Le webmestre<p>@Yacouba :</p>
<p>Porcocéréales ?</p>
<p>Groinblé ? Épigroin ? Épicochon ? Cobléchon ? Choblécon ? Maïs & Cochon ? Épilardon ?</p>
<p>Porkcorn ? Cornpork ?</p>Les noms et codes des projets et programmes - YACOUBAurn:md5:0044a6bae1a93aa38c40c4e3db1a7df62009-06-19T18:54:56+02:002009-06-19T17:54:56+02:00YACOUBA<p>J'élabore un business plan d'un projet qui comporte deux volets: Elevage de porcs et culture de cérérales et je voudrais vous demander de m'aider à trouver un nom à ce projet.<br />
Beaucoup de courage à vos équipes!</p>La Guerre des ERP : SAP vs Oracle Applications (5) : Schémas de données - Le webmestreurn:md5:ffacb5042683ff8c4abacbf2682a359a2009-06-13T20:26:43+02:002009-06-13T19:26:43+02:00Le webmestre<p>@renommeur : Condoléances. Perdre 2 ans de vie à ce genre de choses, j’aurais pas supporté. J’espère que ton système est réutilisé ailleurs...</p>La Guerre des ERP : SAP vs Oracle Applications (5) : Schémas de données - renommeururn:md5:7f9e6c66804bbe6ee2a1f5cd2bb0e6752009-06-13T11:00:59+02:002009-06-13T10:00:59+02:00renommeur<p>J'ai passé mes deux dernières années de ma vie à renommer environ 16000 comptes utilisateurs SAP sur 70 systèmes et 220 mandants. Car le nom d'utilisateur est en même temps sa clé. Il y a environ une quarantaine d'objets liées à cette clé, dont un bon nombre en 1:1 (et non pas 1:n ce qui rendrait la tâche plus simple). J'ai donc développé une solution en ABAP qui gère le processus de renommer un utilisateur, y compris la génération et l'envoi d'email de son nouveau compte et mot de passe avec un message en la langue de l'utilisateur.... je migre les favoris, variantes ALV, variantes programmes, parametrage du workbench, L'infotype 0105/0001, le business partner (à travers la central person), planstellen, autorisations etc. etc. Donc j'ai du boulot grâce à SAP! Mais je suis d'accord que tout cela aurait était trivial si SAP avait un identificateur technique distincte du nom d'utilisateur... si vous voulez renommer vos utilisateurs et en passant faire de l'ordre dans ces comptes - contactez moi...</p>« Der Spiegel » du 19 janvier 2009 : Marienburg la martyre ; de Berlin à la Norvège ; argent pas cher ; tsunami vert au Brésil ; régulation de gènes ; A320 à la baille ; le temps de la radicalité - Le webmestreurn:md5:37d0522c3722c715ffde7511c02c68cc2009-02-15T12:31:06+01:002009-02-15T12:31:06+01:00Le webmestre<p>@Kooorrg : Oups, effectivement, c’est corrigé, merci de me l’avoir signalé.</p>« Der Spiegel » du 19 janvier 2009 : Marienburg la martyre ; de Berlin à la Norvège ; argent pas cher ; tsunami vert au Brésil ; régulation de gènes ; A320 à la baille ; le temps de la radicalité - Kooorrgurn:md5:4ad71adefdeb3c81b16d071dae639b012009-02-15T10:04:49+01:002009-02-15T10:04:49+01:00Kooorrg<p>Un détail : dans l’Hudson, c’était un A320, pas tout à fait le même gabarit qu’un A380.</p>
<p>Sinon là, c’est vraiment éclectique !</p>La Guerre des ERP : SAP vs Oracle Applications (5) : Schémas de données - Le webmestreurn:md5:ad834af6e825cd862c18101f8d24ae132009-01-27T15:12:51+01:002009-01-27T15:12:51+01:00Le webmestre<p>@FrédéricLN : Focalisé sur les données ? On va souvent être d’accord alors, j’ai une vision des choses très orientée « SQL über alles ». Voir notamment le tag « SQL » à gauche.</p>La Guerre des ERP : SAP vs Oracle Applications (5) : Schémas de données - FrédéricLNurn:md5:5466f39f836d8bcd4e162d9dca0ff2532009-01-25T19:10:48+01:002009-01-25T19:10:48+01:00FrédéricLN<p>Bonsoir et… merci. Formé aux SGBD il y a plus d’une décennie, j’avais entrepris de me remettre à jour avec des bouquins, mais on en apprend bien plus et bien plus vite sur ce blog ;-)</p>
<p>(PS - je sais bien que pour former un développeur, ce blog ne suffirait pas tout à fait, mais mon ambition est plus modeste, niveau utilisateur éclairé, focalisé sur les données elles-mêmes).</p>Comment ne pas utiliser une base de données - Le webmestreurn:md5:69d6557c0048ec4a1e2044c219ef60842008-12-16T20:24:14+01:002008-12-16T20:24:14+01:00Le webmestre<p>@Kooorrg : Oui, le SGDB est là pour garder les données, y compris la sécurité et la cohérence. Les contraintes, l’audit par trigger, etc. sont très poussées par exemple dans Oracle, et dans d’autres bases aussi je suppose.<br />
Après, il faut savoir où on s’arrête, vu que par exemple je ne me vois pas implémenter dans Oracle par trigger le respect de Sarbane-Oxley :-)</p>Comment ne pas utiliser une base de données - Kooorrgurn:md5:c6d1a227927b834c7ad0204e3bfc2da32008-12-16T07:41:09+01:002008-12-16T07:41:09+01:00Kooorrg<p>En effet, je parlais de SAP Business One.</p>
<p>Sinon, de mon point de vue, l'application devrait utiliser au maximum les capacités "standards" des SGBD pour protéger l'intégrité et la cohérence de ses données. Bien entendu, il y a toujours un risque que certaines contraintes ne puissent pas être exprimés en SQL.</p>Comment ne pas utiliser une base de données - Le webmestreurn:md5:0eec1e9c9bdb8cfa708aef92e10def792008-12-15T21:31:10+01:002008-12-15T21:31:10+01:00Le webmestre<p>@Balise : N’est-ce pas ?</p>
<p>@Kooorrg : Si SAP est un progrès, j’ose pas penser à ce qu’est le monstre. (Quoique Business One, si c’est celui auquel tu penses, n’a rien à voir avec ce panzer de R/3).<br />
L’appli que tu cites est exactement le cas qui est décrit, et typiquement le genre de verrouillage qui n’est plus tolérable de nos jours. Encore y a-t-il une rationnalité derrière : verrouiller le client, justement ! Ça me rappelle aussi Business Objects (en version 5 ou 6 on peut taper en SQL dans les tables et récupérer beaucoup d’informations automatiquement sur les univers, les utilisateurs....; en version XI tu oublies, tout est boîte noire).</p>
<p>@Steve : L’applicatif hors base se défend. Les contraintes hors base, beaucoup moins. Ce qui compte est le point d’entrée unique pour une fonctionnalité, que ce soit un service web ou une procédure PL/SQL. Les perfs ont leur importance.<br />
Entre aussi en compte l’indépendance au type de base de données, que l’on surestime souvent, mais qui est parfois vitale. Dans le cas de SAP, cette indépendance est à la base de la sous-exploitation complète de l’Oracle en général sous-jacent. Et écrire plein de code en PL/SQL, c’est se lier à Oracle pour la vie.<br />
Si je devais créer un outil utilisant intensivement une base de données, je serais bien embêté pour trancher entre ces différents arguments, je pense que ça dépendrait plus de l’appli et du contexte.</p>Comment ne pas utiliser une base de données - Steve Schneppurn:md5:a3c4736cb5a1ea244c4a39243ecc6edb2008-12-15T12:52:01+01:002008-12-15T12:52:01+01:00Steve Schnepp<p>Ça me fait un peu penser aux apôtres de mettre tous les contrôles de données dans l'applicatif et non directement dans la base.</p>Comment ne pas utiliser une base de données - Kooorrgurn:md5:55bfffa36e0dd88582c857b8d33cab9b2008-12-15T12:48:00+01:002008-12-15T12:48:00+01:00Kooorrg<p>Le système de gestion des projets et des ressources de mon entreprise utilise exactement la même approche : la base ne stocke que des blobs représentant des objets Java sérialisés, alors que ce type d'application se prête particulièrement bien à SQL. D'un coté, le reste de l'application est à l'avenant (stocker des heures sur un flottant, ça fait des jolis trucs quand on veut tracer une activité de 20 minutes...) mais en fait je pense que c'est fait exprès. En utilisant un format totalement obscur, l'application peut s'assurer que personne ne vient trifouiller ses données derrière son dos et que tout le monde doit passer par l'interface graphique officielle. Bien entendu, c'est une application "off-the-shelf", pas un hack bricolé en interne par un stagiaire.</p>
<p>C'est bien simple : on en est tellement mécontent qu'on compte la remplacer par une version mini de SAP.</p>Comment ne pas utiliser une base de données - Baliseurn:md5:ef8d6ef114fcd1b36126f937991fae0f2008-12-15T10:36:23+01:002008-12-15T10:36:23+01:00Balise<p>J'aime beaucoup le « toi causer SQL ? ». Je dois dire que face à ça j'en reste à ta première pensée.</p>Le rôle des NULL en ABAP et PL/SQL - Le webmestreurn:md5:157ef2610c19ccde0a06fa12c7c218192008-06-15T11:49:12+00:002008-06-15T11:49:12+00:00Le webmestre<p><b>@ninurs</b> : NVL(toto, "x") renvoie toto si toto n’est pas NULL, et la valeur par défaut "x" si toto est NULL (sus réserve que les types collent bien sûr).</p>Le rôle des NULL en ABAP et PL/SQL - ninursurn:md5:c250dfa0351c725b90b2c68cc82bffa22008-06-13T11:33:22+00:002008-06-13T11:33:22+00:00ninurs<p>La comparaison des champ NULL ou possèdant une valeur est très bien expliqué! Par contre, tu n'explique pas la commande NVL ? Je suis peu être un peu trop novice... !</p>Clé primaire de substitution ou clé naturelle ? - Le webmestreurn:md5:d1040f5845fdd7210cc86a4a366a5af32008-05-29T21:32:12+00:002008-05-29T21:33:51+00:00Le webmestre<p><b>@Balise</b> : Merci de me dire que je ne blogue pas en vain :'-) </p>
<p><b>@DrGoulu</b> : Je ne suis pas d’accord. Même si on pouvait faire tenir en mémoire l’intégralité de chaque base de données (et pour beaucoup d’applis c’est déjà faisable), la nécessité de poser et de rechercher des relations entre elles, et surtout de faire des requêtes ultra-tordues (genre SQL de 5 pages) rendra un moteur de base de données toujours utile. <br>De plus, une clé primaire n’est pas qu’un pointeur, c’est aussi une <i>contrainte</i>, un moyen de forcer les données à suivre une certaine organisation. Si la clé primaire est arbitraire (un identifiant), oui, ça se rapproche de la fonction de hachage, mais l’unicité qui porte sur le numéro de Sécu ou de client, elle, doit rester imposée. C’est le deuxième intérêt des bases de données : toutes les garanties d’intégrité (contraintes, <i>rollback</i>...).<br>Après, ça se décline suivant les besoins précis, ça évoluera avec la techno, qui évolue dix fois plus vite que l’évolution du logiciel de gestion standard (lequel, à la base, se satisfait du SQL !) ; mais le moteur de BdD sera toujours là. Je ne vois pas l’intérêt de redévelopper des systèmes de gestion des données complexes quand les moteurs sont dispo à volonté (de SQlite à PostgreSQL pour ne parler que du libre). Quant à BigTable de Google, c’est une base de données à leur sauce, destinée au gigantisme distribué, peut-être innovante, mais une base de données quand même.
<p><b>@vpo</b> : Et bien j’apprends des choses ! Pour le développeur qui a dû modifier les applis, je pense qu’il a surtout maudit les technos antédiluviennes et les schémas de données pré-jurassiques qu’il a dû manier.
<br>Pour les bases de données objet, depuis 10 ans que j’en entends parler, j’en ai jamais vu une tourner. Il faut croire que le schéma genre SQL est assez simple et assez puissant à la fois pour ne pas se faire déloger (après tout, un objet, ça se réduit en général à des propriétés, ça doit toujours finir par se sérialiser dans des tables SQL non ?). Je suppute des problèmes de perfs sur gros volume. Il paraît que le manque de standardisation de ce type de bases nuit aussi, je veux bien le croire. Bref, ça m’intéresserait de voir ça concrètement...Clé primaire de substitution ou clé naturelle ? - vpourn:md5:09729c24d2afba911c49a852f6952dec2008-05-29T10:50:33+00:002011-05-22T12:58:36+00:00vpo<p>@Webmestre:<br />
Tu as écrit:<br />
"Autre exemple de piège : le numéro de Sécurité Sociale, qui semble pourtant un parfait exemple de clé fonctionnelle immuable. Un numéro de Sécu peut changer (transexuels), n’existe pas pour tout le monde (enfants, étrangers...), et ne garantit pas l’unicité (cycle d’un siècle...)."<br />
<br />
Ce n'est pas tout à fait exact. En fait le numéro de Sécu pour les enfants (on va prendre le cas usuel : enfants nés en France dont au moins un des deux parents a un numéro de Sécu) existe mais il n'est pas communiqué tout de suite mais doit l'être au plus tard au vingt ans de l'enfant. Je suppose que c'est par ce que le numéro Sécu étant justement la clé unique c'est plus facile de gérer "enfant bidule ayant droit de machin don le numéro Sécu est ..." plutôt que de gérer "Enfant bidule avec numéro de Sécu XXX droits ouverts car ayant droit de Machin dont numéro de Sécu...".<br />
<br />
D'ailleurs, maintenant un enfant peut être sur le numéro de sécu de ces deux parents je me dit que le développeur qui a dû changer les applis côté sécu à dû modir le député qui a pondu la loi autorisant cela. Même si pour les familles c'est plus pratique. Ca évite de devoir emprunter la carte vitale de l'autre, etc... (plus cas des parents séparés si la môme est malade le WE chez celui qui n'a pas la garde, etc...)<br />
<br />
Enfin (grande) aparté:<br />
<br />
En DESS notre responsable qui bossait avec l'IGN avait développé un modèle de base de donnée objet appelé HBDS. Avec des classes, des objets, des liens entre objets et des foncteurs pour parcourir les liens. Modèle théorique très puissant où la notion de clé disparait complètement. Méthode basé sur la théorie des graphes (d'ailleurs HBDS siginifie HyperGraph Based Data System ou un truc dans le genre).<br />
Je n'avais jamais vu d'implémentation de bout en bout de tout son système. Néanmoins, une recherche google m'a montré dernièrement qu'une boîte qui édite des SIG (Système d'Info Géographique) annonçait que sa nouvelle version de soft gérait à fond le HBDS. Je suppose que des gars de mon DESS ont dû être embauchés :-) Maintenant, je ne sais pas si ils ont implémentés le bidule sur un SGBDR en dessous.<br />
<br />
Car j'ai souvenir que des bases objets comme 02 n'était qu'un (gros) front-end mais avec un moteur relationnel en dessous.<br />
<br />
vincent le murphyprosien.<br />
<br />
ps: Petite aparté l'article Numéro de Sécu dans Wikipedia est instructif, à ce sujet.</p>Clé primaire de substitution ou clé naturelle ? - Baliseurn:md5:a69b29eb2976ba26d09e5ecc152f1a2e2008-05-28T23:58:03+00:002008-05-28T23:58:03+00:00Balise<p>Bon alors tu as au moins une lectrice qui a lu, compris et même vaguement réfléchi (en se disant "han, c'est pas con, j'y avais jamais pensé") à l'intégralité du post. Et je vois pas ce qu'il a de non pratique, ce post... en tous cas achement intéressant, mici :p</p>Clé primaire de substitution ou clé naturelle ? - Dr. Gouluurn:md5:5233215e1b55385abaaa74b28132ffb92008-05-28T23:55:24+00:002008-05-28T23:55:24+00:00Dr. Goulu<p>Les bases de données ne sont que des structures de données persistantes, originaires d'une lointaine époque où l'espace mémoire (RAM) était trop petit pour les manipuler directement. Dans ce contexte, une clé de substitution n'est rien d'autres que l'équivalent d'une adresse en mémoire, éventuellement avec un niveau d'indirection représenté par l'index. Une clé "primaire" peut être vue comme le paramètre d'une fonction de hachage qui renvoie l'adresse physique, ce que font en interne les bases commerciales citées. <br />
<br />
Des "bases" utilisant les OS 64 bits, et peut être un jour les "SASOS" (Single Adress Space Operating Systems) renverra tous ces gentils SAPistes et Oracleurs à la case départ : algorithmes et structures de données. Ce type de réflexion est à la base du "BigTable" de Google, qui stocke des pétabytes répartis sur de milliers de machines, et ça marche plutôt bien... </p>Où sont les specs ??? - vincenturn:md5:15c9fbbc7fa65b819c8d41f2f64e6e572008-02-05T17:25:17+00:002008-02-05T17:25:17+00:00vincent<p>Le fichier Excel c'est ce l'on faisait dans ma précédente boîte au début : <br />
<br />
Il y avait une colonne par champ pour créer la ref du document : genre le site géographique, le type de doc, le nom du projet, etc... + un numéro incrémenté de ligne en ligne.<br />
<br />
Ca parrait pratique: on a un fichier à ouvrir pour connaître le prochain numéro de doc, ensuite on a juste à ouvrir le fichier pour connaître les docs existant.<br />
<br />
Sauf que : Il n'y avait pas la localisation physique du doc, nous étions et le fichier Excel était volumineux.<br />
D'où ça rame à mort pour les deux sites qui n'ont pas le fichier en local. Et dès qu'un pékin ouvre le fichier, il faut attendre qu'il referme le fichier pour avoir le droit de l'éditer car le premier ouvrant le fichier le verrouille en écriture par défaut.<br />
<br />
Solution : un intranet, avec une base de donnée qui attribue le numéro. Mais là, ça a coûté beaucoup plus cher à mettre en place.<br />
Et surtout, ça n'a jamais garanti que les docs étaient utils et non du pissage verbeux pour faire plaisir aux auditeurs ISO9001.<br />
<br />
<br />
</p>Beagle sur Debian Etch et Kubuntu 7.04 - Le webmestreurn:md5:5744696d8530f0f3bcdd6029100174b12007-12-19T09:26:27+00:002007-12-19T09:26:27+00:00Le webmestre<p><b>@PB</b> : De toute façon, Beagle était aussi très Gnome. Ce qui compte est que l’outil soit utilisable sans interface graphique, et les outils pour consulter doivent exister dans les deux cas. En tout cas, j'essaierai Tracker lors de mon passage à Ubuntu 7.10</p>Beagle sur Debian Etch et Kubuntu 7.04 - PBurn:md5:58cba9ecb5a89198ca1c614ec25b9e3a2007-12-18T10:13:18+00:002007-12-18T10:13:18+00:00PB<p>Je crois comprendre que tu es plutôt KDE que GNOME. Parce que sinon il y a aussi <a href="http://doc.ubuntu-fr.org/tracker" title="http://doc.ubuntu-fr.org/tracker" rel="nofollow" rel="ugc nofollow">doc.ubuntu-fr.org/tracker</a></p>Le rôle des NULL en ABAP et PL/SQL - Antoineurn:md5:e138f104474c9ffa6dee856c34c353852007-11-20T14:17:54+00:002007-11-20T14:17:54+00:00Antoine<p>Plus familier de PostgreSQL, le mieux au final est de penser le NULL comme "indéterminé", au sens de l'indétermination mathématique. <br />
On est alors beaucoup moins surpris du résultat du "WHERE champ <> 4". On ne renvoie pas les lignes où champ IS NULL, car on ne sait pas dans ce cas (indéterminé) si champ est vraiment différent de 4.<br />
En tout cas, une fois expliqué comme ça, les développeurs de l'équipe on arrêté de ronchonner et ont commencé à utiliser COALESCE(...,...).</p>"4" par 4.0 ? - Jim R. Wilsonurn:md5:0551f1d344887071217ab184ee495b402007-10-25T23:58:42+00:002007-10-25T23:58:42+00:00Jim R. Wilson<p>PHP borrows its '.' for concatenation and '+' for numeric addition concepts from Perl - so it should be pretty much the same.<br />
<br />
Regards,<br />
-- Jim (jimbojw)</p>"4" par 4.0 ? - Eric C.urn:md5:731c3f2b41fa2b9ad79bd5ad40bd869f2007-10-25T11:50:42+00:002007-10-25T11:50:42+00:00Eric C.<p>En Perl ça donne les mêmes résultats qu'en PHP : 16 et 8<br />
Logique pour un langage aussi peu typé. Pas rigoureux, mais bien pratique :)</p>"4" par 4.0 ? - Miodurn:md5:34a614271989813a3271cc30dd8c02e82007-10-24T21:53:29+00:002007-10-24T21:53:29+00:00Miod<p>Je suis très surpris que tu n'aies pas essayé ces manipulations avec Perl.</p>Je métaprogramme - Le webmestreurn:md5:7d0b06cb05182e79ba811fa88071891b2007-07-10T20:55:23+00:002007-07-10T20:55:43+00:00Le webmestre<p><b>Dr Goulu </b> : Bonnes remarques !<br>1 et 2) Je me demande comment on va faire quand les machines n’auront plus que de la RAM, même à plusieurs niveaux (avec les disques durs sur mémoire flash, le moment est proche...) <br>3) Oui, tout finit sous forme de cache de quelque chose d’autre. On pourrait dire que déjà notre ordi n’est qu’un cache pour l’accès à Internet pour certaines applis. <br>Cependant, si les débits réseau commencent à approcher ceux des vieux DD, les applis, elles, consomment des données de plus en plus rapidement aussi.<br>5) Et les problèmes d’upgrade, de virus ? Miam... <br>6) Bien vu ! Je me posais juste du côté du développeur et avais négligé cet aspect. 7) Trop de CPU ? Dans le cas général, pas de problème, c'est bien pour ça que l’<i>eye candy</i> est supportable en bureautique. Mais dans le domaine du brassage de données ici évoquée, mouais. Quand j’empile BO et Oracle, le CPU est à fond (faut dire que BO est très microsoftien dans ses besoins en ressources.)<br>À propos de Terminator : j’avais justement beaucoup aimé la remarque dans le troisième opus sur l’inéluctabilité de Skynet quelle que soit la technologie... Un peu comme le thème de la Singularité.</p>
<p><b>@Jid</b> : Oui, j’ai connu ça aussi. Revenir sur un programme qui a été maintenu par d’autres, c'est comme revoir un enfant qui a grandi après un bout de temps. Tiens, il sait faire ça maintenant... À la fois le même et différent.
<p><b>Steve</b> : Très bon lien !!! En résumé, les abstractions et l’empilage des couches a ses limites... mais dans le cas général, est-ce un si gros problème ? L’exemple du TCP est bon : la couche <i>en dessous</i> est faillible, et il s’en sort (en général) bien. J’avais lu quelque part qu’un bon développeur doit connaître son outil, bien sûr, et la couche en dessous. Ai-je besoin de connaître le microcode du dernier Intel pour compiler un <i>datawarehouse</i> ?Je métaprogramme - Steve Schneppurn:md5:d77c54def2a655ba0adcd736b59304172007-07-10T19:17:48+00:002007-07-10T19:17:48+00:00Steve Schnepp<p>Attention toutefois aux strates, elles fuient toujours de quelque part : <a href="http://www.joelonsoftware.com/articles/LeakyAbstractions.html" title="http://www.joelonsoftware.com/articles/LeakyAbstractions.html" rel="nofollow" rel="ugc nofollow">www.joelonsoftware.com/ar...</a> .<br />
</p>Je métaprogramme - Jidurn:md5:2fbdce9a117e50586e0d628f7fbfaf432007-07-10T15:05:31+00:002007-07-10T15:05:31+00:00Jid<p>Addendum à la 7ème loi: un programmeur qui modifie un programme (qu'il n'a pas conçu) le complexifie de façon à ce que même le concepteur devienne un simple programmeur sur son propre programme.</p>Je métaprogramme - Dr. Gouluurn:md5:1cf2463231f743c31d168a107e0762df2007-07-10T09:53:43+00:002007-07-10T09:53:43+00:00Dr. Goulu<p>intéressante réflexion. quelques éléments pour la compléter :<br />
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1) la mémoire disponible sur disque a toujours été plus vaste que la mémoire vive (RAM) adressable par le CPU, jusqu'à aujourd'hui. Les processeurs 8 bits (16 d'adresse) étaient limités à 64Kb de RAM, les 32 bits à 4 Gb, les 64 bits actuels à 16 exabyte, plus que toute la RAM produite jusqu'ici !<br />
<br />
2) les bases de données servaient à stocker des informations prenant trop de place pour tenir en RAM. Elles n'ont plus cette justification sur des machines 64 bits : des "structures de données" classiques (en RAM) couplées avec le mécanisme de mémoire virtuelle permettent de stocker les données de manière plus efficace, plus souple et aussi sure.<br />
<br />
3) les débits réseau commencent à approcher les débits disque disponibles il y a quelques années. Le disque dur devient peu à peu un cache du réseau. Preuve : quand on télécharge un logiciel, on le garde quelque temps, mais si on en a besoin quelques semaines plus tard, on le re-télécharge sans hésiter.<br />
<br />
4) la hierarchie mémoire (caches CPU, Ram, disque) devient en fait un gros système de cache du réseau, qui contient l'Information (avec I majuscule), distribuée, redondante, souvent incohérente ...<br />
<br />
5) les "systèmes d'exploitation" qui se basent sur les faits ci-dessus s'appellent les SASOS : "single address space operating system". L'idée est que tous les processeurs tournant sous un SASOS partagent le même espace mémoire (de 16 exabytes) tout comme les 2 coeurs de votre Core DUO partagent la même RAM dans votre PC. Sauf que là, on aurait des millions de coeurs, offrant une énorme puissance de calcul distribuée... Il existe des protos de SASOS, mais l'obstacle sur lequel ils butent est la sécurité : comment empêcher la corruption volontaire ou involontaire des données ? Des mécanismes de protection de la mémoire sont en train d'être mis en place au niveau des processeurs (bit NX pour Non-eXecutable d'Intel)<br />
<br />
6) les couches d'abstraction sont nécessaires pour les raisons évoquées dans l'article (accès par des langages et outils de haut niveau sans avoir à tenir compte de l'implémentation) mais aussi pour la sécurité qui exige d'empêcher un utilisateur de pouvoir corrompre les données. SQL permet de corrompre des tables, mais pas de crasher le système d'exploitation (en principe...), alors que l'application, avec sa jolie UI en couleurs, est surtout là pour empêcher l'utilisateur final de faire ce que l'administrateur de la base a le droit de faire.<br />
<br />
7) le coût en performance des couches d'abstraction est négligeable car nos CPU ne font rien au moins 90% du temps, et surtout le temps d'accès aux données (sur disque) est tel qu'il vaut la peine de faire pas mal d'optimisation (qui ne coute que des cycles CPU) pour minimiser les accès disque.<br />
<br />
A l'époque de Terminator 1, je pilotais un robot par des Transputers, des processeurs interconnectés par des lignes série rapide... Donc je pense qu'on va faire un Skynet comme dans le film. Sans s'en apercevoir....</p>Le rôle des NULL en ABAP et PL/SQL - Le webmestreurn:md5:203d8dc92a7e5cbce591e8767e5804202007-07-05T19:59:36+00:002007-07-05T19:59:36+00:00Le webmestre<p><b>@Mardouks</b> : Une table interne pour toi tout seul, c'est effectivement trop lourd. Il y a par exemple une limite probablement paramétrable de 1 Go ou plus pour chaque processus. Par contre, sous Oracle Appli, vu que tu tapes directement dans les tables et que c'est Oracle qui s'occupe de la cohérence et de la gestion de la mémoire, tu peux faire joujou avec ta méga-table bien plus facilement (en général, et faut aussi faire gaffe aux perfs évidemment).
</p>Le rôle des NULL en ABAP et PL/SQL - Mardouksurn:md5:63d691cd245df574f8a1e328388c0a872007-07-05T15:09:08+00:002007-07-05T15:09:08+00:00Mardouks<p>On se fait toujours avoir la première fois, mon meilleur cas je crois était sur VBFA... une table interne de 80 millions de lignes c'est mon rêve, mais y me faut un SAP pour moi tout seul...</p>La Guerre des ERP : SAP vs Oracle Applications (5) : Schémas de données - urainienurn:md5:c872227ca4228d131518394969bf9d2f2007-06-25T11:09:08+00:002007-06-25T11:09:08+00:00urainien<p>Bonjour,<br />
<br />
Pour cléopatre et les autres, allez sur www.fnac.com, mon livre est en prévente. Méthode de formation sur l'ABAP, en français. Méthode éprouvée depuis 3 ans, et avec les remerciements d'une grande SSII.<br />
Le titre est SAP et ABAP, aux éditions ENI. Un accès est sur mon site.<br />
Pour ceux qui le souhaitent, j'ai mis en place des forums sur l'ABAP, une base de connaissance sur l'ABAP, le tout en accès libre.<br />
<br />
Cordialement,<br />
<br />
Yann SZWEC<br />
<br />
PS : mon objectif n'est pas de convertir le webmestre à l'ABAP (:))</p>La Guerre des ERP : SAP vs Oracle Applications (5) : Schémas de données - Heptaeonurn:md5:27a0cb41bb5b8bd3d2fc47ef21ce980a2007-05-08T21:52:02+00:002007-05-08T21:52:02+00:00Heptaeon<p>Je suis a 100% de ton avis. SAP a la même politique que IBM avec ses mainframes. On sais comment ça a terminé. <br />
<br />
De mon coté je cherche l'ERP qui remuera les hautes sphères. Un ERP saint et clair (de conception), Ergonomique et Accessible, avec des technologie d'avenir, qui ne font pas de protectionisme sur l'information, et qui ont une politique commercial du win/win plutôt que de la sangsue. <br />
<br />
ps: Pour ceux qui diront que SAP ne disparaitra jamais, je leur dirais que certaine société sont toujours sur mainframe. </p>Le rôle des NULL en ABAP et PL/SQL - Le webmestreurn:md5:95c56f95daf1bb49db0cd744efd7edd02007-03-12T18:32:04+00:002007-03-12T18:32:04+00:00Le webmestre<p><b>Jid </b> : Tu fais encore du Cobol ?</p>Le rôle des NULL en ABAP et PL/SQL - Jidurn:md5:76e90c7139123abda93a977a7eaef2b12007-03-12T13:14:02+00:002007-03-12T13:14:02+00:00Jid<p>Bien intéressant (et surtout bien expliqué).<br />
Ne travaillant pas avec des etraction de tables je ne m'étais jamais posé la question.</p>La Guerre des ERP : SAP vs Oracle Applications (5) : Schémas de données - Le webmestreurn:md5:8899ce905d0319a93e553af99dfb2bd02007-02-26T19:14:08+00:002007-02-26T19:14:08+00:00Le webmestre<p><b>@cleopatre</b>: En français ??? Heu... Désolé, j'en connais pas. De toute façon dans ce métier faut savoir acheter en anglais voire ici en allemand... </p>La Guerre des ERP : SAP vs Oracle Applications (5) : Schémas de données - cleopatreurn:md5:4a1c08a19d3c3c5db4f3da76357358242007-02-25T22:35:09+00:002007-02-25T22:35:09+00:00cleopatre<p>bonjour, je recherche un livre en francais pour Abap.Merci d'avance j'en ai vraiment besoin.à bientôt.</p>La Guerre des ERP : SAP vs Oracle Applications (5) : Schémas de données - Le webmestreurn:md5:b43b5dc368247053a5f4f49c9811ac7c2007-02-12T20:47:03+00:002007-02-12T20:47:53+00:00Le webmestre<p><b>@UKRAINIEN</b> : Il faut distinguer deux choses dans le développement : la logique interne, et la facilité de le faire avec des outils correct. Pour la première, c’est un choix ; la seconde en découle cependant directement même si ce n’est que de la « technique » ; une erreur de <i>design</i> et un programme marche, mais en claudiquant.<br>SAP a choisi de ne pas tenir compte de décennies de recherche sur les bases de données (car fondamentalement c'en est une, avec des tables bien rangées), et de s'en tenir à un modèle de données antédiluvien (développé il y a longtemps) ou démentiellement moderne (CRM) ; idem pour le langage qui a des limites et une rigidité qui ne se sont plus de ce siècle, et rendent le développement très pénible pour qui est attaché à un minimum d’élégance et de compacité ; les outils sont plus ou moins imposés et représentent un <i>patchwork</i> de générations différentes, et ce ne sont pas les plus récents les mieux conçus (j’ai une haine particulière pour le pourtant récent <i>Smartforms</i>) ; la base sous-jacente est sous-exploitée (le SQL de l’ABAP n’arrive pas à la cheville de celui de la base Oracle sous-jacente ) ; l’interface est le type même de ce qu’il ne faut pas faire en ergonomie. Il est clair qu’une masse énorme de travail permet à la chose de tenir debout, mais c'est d'abord à sa richesse fonctionnelle qu’elle le doit (et là, chapeau). Je ne nie pas que quelques gadgets embellissent parfois la vie (je regretterai les <i>matchcodes</i>), mais si peu... La doc ne manque pas mais elle est boursouflée et très lourde. Les interfaces de programmation (fonctions, BAPIs, <i>user exits</i>...) se sont empilées au fil des modes et leur maniement est parfois délicat ou abscons. Dernier et très gros reproche, les standards sont totalement méprisés sur à peu près tous les plans (SAP se veut le standard).<br>En tant que développeur, ce fut un calvaire, mais comme je l’ai dit, je ne suis pas la cible et la facilité de développement n’est pas l’argument de vente. </p>La Guerre des ERP : SAP vs Oracle Applications (5) : Schémas de données - UKRAINIENurn:md5:485315adeaae500f7a1d0a28e8fd91252007-02-12T13:17:40+00:002007-02-12T13:17:40+00:00UKRAINIEN<p>Bonjour,<br />
<br />
Le principe de SAP se résume en 3 mots : intégrité, portabilité, scalabilité. Pour ce qui concerne l'intégrité, je ne répondrai que sur la partie développement, c'est mon métier et il y a déjà beaucoup à dire.<br />
Si vous allez intégrer directement dans les tables, c'est tout à faite possible, mais vous ne respecterez pas les règles métiers définies par le consultant fonctionnel. Les réintégrer dans un programme est refaire le travail du consultant fonctionnel, ou de SAP.<br />
<br />
Les problèmes que vous présentez dans la gestion des données concerne un problème de réplication, avec des données modifiées. Cela se gère très bien dans SAP, en passant par les fonctions adéquates, ou même dans un programme spéficique, à la condition de connaitre les bonnes zones.<br />
<br />
Il est vrai qu'il n'est pas toujours facile de travailler avec SAP, et on peut parfois s'arracher les cheveux. Mais si SAP est numéro 1, ce n'est pas pour rien. Il a aussi de nombreux avantages.<br />
<br />
Vous aurez en juillet/aout prochain un livre en français sur l'ABAP, qui présentera les concepts SAP. J'en suis l'auteur. Aux editions ENI.</p>Baratin commercial à signal nul - Rohulurn:md5:5113ff2805249e36bf9eb26d3e4efadc2007-02-08T01:29:24+00:002007-02-08T14:15:30+00:00Rohul<p>Tout ce verbiage n'est pas nouveau dans le secteur informatique.<br />
Je faisais un BTS Micro en 1982, notre prof de programmation lors de notre premier cours nous a dit textuellement la phrase suivante :<br />
"Messieurs, (à l'époque nous n'étions que des mâles boutonneux à nous intéresser à ces machines), Messieurs nous a-t-il donc dit, vous aller apprendre des concepts et du vocabulaire technique. Un conseil : ne vulgarisez jamais votre savoir, votre savoir sera votre pouvoir".<br />
Cette phrase m'a choqué et depuis ce jour je fais de mon mieux pour désacraliser et vulgariser au mieux des termes et concepts qui peuvent bien souvent s'exprimer simplement et en français compréhensible par tous.<br />
Cette conception de la captation du pouvoir s'est hélas étendue à des domaines tels que le marketing ou le commerce. Le pékin de base ne peut qu'acquiescer à ces formules creuses sous peine de passer pour un nabot intellectuel et il les reprend pour se donner des airs de celui qui fait partie du cénacle.<br />
Les milieux autorisés de Coluche ont encore de beaux jours devant eux.<br />
</p>Initialiser tu n’oublieras pas ! - Le webmestreurn:md5:d173155340981db1812b2b943bf5841d2006-12-21T21:37:00+00:002007-02-11T11:19:36+00:00Le webmestre<p><b>@Stéphane</b> : Oui, un peu. Disons que le vrai problème, là, est que le compilo laisse passer le fait qu'on rencontre deux fois la même variable à la suite, plus que le fait qu'il ne veuille pas recréer la case mémoire qui va bien.
Courage, plus que 2 semaines à subir ce langage...</p>Initialiser tu n’oublieras pas ! - Stephurn:md5:6ba0debb161a04ee9fd34e6e166a85562006-12-20T18:46:59+00:002006-12-20T18:46:59+00:00Steph<p>OK, là du coup c'est plus effrayant, oui.<br />
C'est un équivalent d'un "static" en C qui serait implicite... ?</p>Initialiser tu n’oublieras pas ! - Le webmestreurn:md5:bfbf68b88c4e3d6be2ab537d5da843352006-12-20T17:15:47+00:002006-12-20T17:15:47+00:00Le webmestre<p><b>@Stéphane</b> : Heu... C'était pour voir s'il y avait quelqu'un qui <strike>lisait</strike> suivait... :o)<br> Sérieusement, oui, la ligne DATA est au-dessus du IF, et effectivement ça ne passerait pas, et elle n'est pas non plus réinitilalisée. D'ailleurs le code foireux que tu as pointé compile aussi, j'ai vérifié, et c'est également effrayant... </p>Initialiser tu n’oublieras pas ! - Stephurn:md5:a90ee54c023de062cc55faa1e831a5b42006-12-20T11:28:40+00:002006-12-20T11:28:40+00:00Steph<p>Je ne connais pas ABAP du tout, mais dans ton exemple<br />
----------<br />
IF x-un_champ = ... .<br />
. DATA v TYPE c VALUE '0'.<br />
. v = c_une_valeur.<br />
.ENDIF.<br />
. compteur = compteur + v + x-un_autre_champ.<br />
----------<br />
tu déclares bien v à l'intérieur du IF/ENDIF, et tu l'utilises pourtant en dehors dans ta sommation ?<br />
<br />
Je ne vois pas comment il devrait réagir, mais en C si tu fais.<br />
---------------<br />
if x->champ {<br />
montype v = 0;<br />
v = c->valeur;<br />
}<br />
compteur = compteur + v + x->un_autre_champ;<br />
---------------<br />
tu vas te prendre une erreur du compliateur, bien sur...<br />
<br />
Qu'ABAP le permette me parait plus une faute que le fait qu'il n'initialise pas.</p>Baratin commercial à signal nul - Le webmestreurn:md5:8e8f07c4944b2deb3b5df8d89afb17a42006-12-20T11:09:26+00:002006-12-20T11:09:26+00:00Le webmestre<p>Donc comme je disais c'est d'abord du marketing :-) </p>Baratin commercial à signal nul - Steve Schneppurn:md5:839f3495543d18d4739115d47583f12a2006-12-20T09:40:20+00:002006-12-20T09:40:20+00:00Steve Schnepp<p>Le Wiiv est à l'ordinateur multimédia ce que le Centrino est à l'ordinateur portable : <br />
<br />
Un ensemble de normes (ie: certification) destinées officiellements à promouvoir un certain niveau de compatibilité entre les périphériques, et officieusement à faire de du FUD en faveur des composants Intel (et oui, c'est les seuls qui sont "à la norme").<br />
<br />
Son concurrent chez AMD est "Live!"<br />
<br />
Pour des explications complémentaires :<br />
<a href="http://www.presence-pc.com/tests/Intel-Viiv-vs-AMD-Live-le-point-432/" title="http://www.presence-pc.com/tests/Intel-Viiv-vs-AMD-Live-le-point-432/" rel="nofollow" rel="ugc nofollow">www.presence-pc.com/tests...</a><br />
</p>