Les deux leaders sur le marché de l’ERP sont SAP, n°1 incontesté made in Germany, lourd et ruineux, et l’américain Oracle Applications, un cran en-dessous en terme de marché, chiffre d’affaire et fonctionnalités, mais qui achète à tour de bras pour rattraper son retard. Les autres ne comptent pas, ont un marché de niche, ciblent les PME, ou ont été rachetés.
SAP existe depuis plus longtemps que moi, tandis qu’Oracle a longtemps basé sa réputation sur sa base de données qui, malgré bien des défauts, est devenue la référence dans le domaine. Si je parle d’Oracle ici, j’entends Oracle Applications, pas la base de données[1].
Je connais principalement Oracle Applications 11.0 et 11i, et, avec beaucoup moins d’expérience SAP R/3 et un peu le SAP CRM. Ce qui suit peut être dépendant du paramétrage des bases que j’ai rencontrées.
En passant d’Oracle à SAP, on s’aperçoit que la philosophie des deux produits est totalement opposée, même s’ils tentent de répondre aux mêmes besoins (gérer une entreprise de bonne taille de bout en bout) avec les mêmes moyens (beaucoup de MHz, de Go et de frais en licences et consulting).
C’est hideux
L’interface est aussi hideuse et anti-ergonomique chez l’un que chez l’autre, mais d’une manière totalement différente. En fait, ni l’une ni l’autre n’a vraiment évolué depuis au bas mot 1998.
- Oracle semble avoir dix ans de retard sur le développement des interfaces graphiques à la Mac ou Windows. L’entreprise n’est pas connue pour son souci de l’ergonomie de toute manière.
Depuis environ l’an 2000, l’utilisation de Java pour toutes les interfaces graphiques (de l’utilisateur de base à l’administrateur de la base) se traduit par une lourdeur certaine (plus supportable sur les machines actuelles), et un manque de cohérence avec les applications habituelles dans le monde Windows.
L’essentiel de l’ERP est resté au paradigme des fenêtres qui s’enchaînent, se chevauchent... en mode MDI (des fenêtres dans la fenêtre principale, très à la mode sous Windows 3.1).
Pour basculer d’une fenêtre à une autre (par exemple avoir des informations sur un article depuis l’écran d’une commande), le plus simple est encore de noter sur un papier ou dans le presse-papier ce qu’on cherche, de refermer toutes les fenêtres du module fonctionnel (!), et d’aller dans l’autre module...
Le passage d’une partie de l’interface au mode web est déjà effectif mais son ergonomie est pour le moins perfectible. Oracle a l’intention d’évoluer vers un modèle mixte moitié « classique » (serveurs en entreprise, licenses...) moitié « à la demande», ie hébergé, par le web (un peu comme Salesforce).
- SAP affiche ouvertement ses origines sur gros systèmes à une époque où l’idée d’un ordinateur sur chaque bureau relevait de la science-fiction sinon de l’utopie. Les « listes » brutes existent encore, avec les tableaux dessinés à coup de caractères de contrôle, qui autrefois s’affichaient sans doute sur un bel écran de terminal noir et vert (sinon sur du listing papier).
Le flux se base sur une succession d’écrans qui occupent toute la fenêtre, comme une page web, et pas comme des fenêtres séparées. À l’usage, ce n’est pas si mal.
Depuis le texte a été enrobé, d’absconses icônes sont apparues, quelques gadgets sont sympathiques (notamment le double-clic pour accéder à une autre information, très pratique... quand il est là), mais l’interface ferait hurler n’importe quel ergonome. Par exemple certains onglets ont l’apparence de boutons d’actions (les onglets dignes de ce nom existent aussi) :
Des limites énervantes partout
Les limites abondent chez l’un et l’autre, qui auraient apparemment pu être levées avec un peu d’effort (mais elles sont là depuis des lustres). Quelques exemples graves ou minimes, comme ils me viennent :
- Le menu principal d’Oracle est du texte sous forme de menu (moche mais fonctionnel), restreint à la « responsabilité » (en gros, un module fonctionnel plus ou moins personnalisé) en cours. Les raccourcis qu’on peut y placer sont limités à dix (10), numérotés de 0 à 9. Supprimer l’un d’entre eux revient à renuméroter les autres.
Avoir plusieurs sessions simultanées d’Oracle Applications est possible en se reconnectant plusieurs fois.
À l’inverse, SAP offre un menu avec tous les écrans autorisés à l’utilisateur, plus les « codes transactions » (taperVA03
pour lire les commandes,VF01
pour créer une facture...), et la gestion simultanée de plusieurs écrans (« modes ») est facilitée.
- Les raccourcis clavier sous Oracle sont assez pauvres ; sous SAP l’usage des touches de fonction est massif mais le raccourci pour une même fonctionnalité change suivant l’écran.
- Les raccourcis n’ont souvent pas grand-chose en commun avec ceux répandus sous Windows ou ailleurs.
- SAP prend un malin plaisir à rendre difficile le pointage de souris. Les boutons de boîtes de dialogue sont petits, les boutons par défaut ne sont pas plus grands que les autres, et, cerise sur le gâteau, une grosse icône SAP remplace les habituels trois petits boutons Réduire/Agrandir/Fermer de toute fenêtre de Windows, lesdits boutons étant décalés plus à gauche, en réduction, pour bien être sûr de mal viser. (Voir copie d’écran ci-dessous.)
Oracle n’a pas ce défaut, les boutons sont moches mais décemment dimensionnés. Par contre, inutile de chercher à agrandir ou réduire une fenêtre pour avoir plus de colonnes/lignes à l’écran, ce n’est pas prévu.
- Nombre des écrans d’Oracle sont accessibles en écriture comme en lecture, pas de juste milieu (apparemment et simplement en tout cas). Dans le cadre de la restriction généralisée et paranoïaque des accès (Sarbanes-Oxley et tutti quanti), c’est très gênant.
SAP a généralisé (au moins dans les vieux modules) le principe de transactions (entrées de menu) différentes selon qu’on veut créer, modifier, ou juste voir, une commande, un article...
- La traduction française est désastreuse sur SAP (je connais Oracle surtout en version originale). La grammaire est correcte, mais je comprends souvent mieux en version allemande ou anglaise, un comble ! Entre autres détails : en français, on dit « Annuler » pour sortir sans rien faire d’une boîte de dialogue (comme en anglais : “Dismiss” ou “Cancel”), pas « Interrompre » (»Abbrechen« en allemand) !
Que des morceaux d’allemand surnagent par-ci par-là dans les modules techniques, ou que des morceaux de phrases aient sauté de-ci de-là, est paradoxalement moins grave.
- SAP abuse des abréviations dans les noms de colonne ou de champ, jusqu’à l’absurde (« C. » comme nom de colonne !). Y compris dans les infobulles, sisi.
Oracle connaît peu les infobulles mais en général remplit moins ses écrans.
- L’aide en ligne des deux concurrents pèche de la même manière : correcte dans un sens descriptif, insuffisante comme base de travail pour chercher comment retrouver ou paramétrer tel ou tel objet (il faut reconnaître que l’exhaustivité serait titanesque à obtenir).
- (SAP) Pour imprimer une facture, il ne faut surtout pas cliquer sur le symbole vert qui signifie « OK » dans la boîte de dialogue après un clic sur « Éditer », mais sur l’icône de l’imprimante. Le bouton vert ne sert à rien !
- Pour le développeur : dans l’éditeur de code ABAP (imposé, oubliez Eclipse, vi, nedit...), les commentaires sont en bleu... s’ils sont déclarés avec une étoile sur le premier caractère de la ligne. Si le commentaire se trouve sur la même ligne que du code, séparé par un
"
, ils ne bénéficient pas de la coloration syntaxique !
On prend donc vite l’habitude d’aérer le code ABAP (déjà très verbeux) par des commentaires seuls sur leur ligne. Ce n’est pas si gênant, car de toute façon l’éditeur ne supporte pas les lignes de plus de 72 caractères (le standard en 1983) !
- SmartForms, un module de SAP de développement de formulaire[2] possède des fenêtres avec ascenseur au sein d’autres fenêtres avec ascenseur ! Une monstruosité ergonomique que je n’ai jamais rencontré qu’au sein de pages web qui n’avaient pas le choix de faire autrement. Smartforms n’est pourtant pas un vieux clou traîné depuis vingt ans, mais un outil très récent de SAP - ce sont souvent les pires (en complexité inutile surtout).
- Smartforms (encore lui) ne gère pas les différentes versions d’un objet, alors que la notion de gestion de versions est intégrée à l’éditeur des programmes ABAP depuis des années. Au passage, cela rend cauchemardesque la simple annulation de modifications... Chaque outil de développement a été ajouté sans grand respect pour la cohérence avec les outils précédents.
- Etc. etc.
Ce ne sont que des détails, mais mis bout à bout ils me tapent sur les nerfs. Ils résument bien la philosophie des produits et la manière dont il sont conçus et vendus.
Quelques gadgets sympas
C’est surtout SAP qui les possède (Mise à jour de 2008: voir aussi ce billet ) :
- le double-clic déjà évoqué pour avoir plus d’information sur tel ou tel objet (mais il n’est pas toujours là) ;
- les matchcodes, des petits sous-écrans qui permettent de faire des sélections de plages de valeurs un peu tordues (du genre « prendre les codes articles 1023 à 8123 sauf les 4526 à 5622, et pas le 8001 »), et bien intégrés au langage ABAP sous-jacent ; Oracle ne connaît que les plages de valeur simples ;
- SAP mémorise les dernières valeurs entrées dans un champ ; si vous manipulez les dix mêmes articles/commandes/programmes, ils sont automatiquement proposés dans un menu déroulant à chaque saisie ;
- Hélas, si l’interface de SAP est supportable après un peu d’apprentissage par un utilisateur, celle réservée au développeur « sous le capot » fait nettement plus peur…
Partie 1 : Des interfaces hideuses
Partie 2 : Deux gros patchworks
Partie 3 : Des interfaces très particulières
15 réactions
1 De montana - 19/04/2007, 12:17
Vos informations sont correctes et très instructive mais il serait intérréssant de se pencher sur la version déstinée au PME de SAP: Business One. Elle est nétement plus simple d'utilisation et beaucoup plus finie.
2 De Le webmestre - 19/04/2007, 18:58
@montana : C’est une bonne remarque, mais je ne l’ai jamais vue, cette version. Je peux juste répéter l’avis d’un collègue qui a développé dessus : c’est totalement inflexible, pas customisable, inadapté pour une SSII qui aime facturer du conseil (et tant mieux pour le client :-). Et un commercial m’a dit qu’il avait du mal à le vendre : « SAP » est une marque qui fait peur aux PME.
3 De LDE - 02/10/2007, 18:06
Bonjour
Soit SAP n'est pas une modèle d'ergonomie mais l'outil évolue (en 1998 on était en version 3.1 qui je vous l'assure ne ressemble pas du tout aux copies d'écrans des version 4.6 et suivantes)
De plus SAP "embarque" en lui un outil de modificétaion d'écran plutôt bien fait : le GUIXT avce lequel vous pouvez redisgner vos écrans (transformer des listes en boutons radio, créer de nouveaux boutons pour des chainements d'écrans...)
J'essayerai de faire à l'occasion un post sur ce sujet
A bientôt
4 De G - 09/12/2007, 12:07
Bonjour,
Je n'ai pas d'expérience dans les ERP mais j'ai trouvé cette petite video qui reprend vos idées sur Oracle et SAP.
Cette pub a été faites par Lawson, un autre editeur de solution ERP :
www.dailymotion.com/relev...
En tout cas, merci pour votre retour d'expérience :)
G
5 De hora - 19/12/2007, 14:19
Bonjour,
Je trouve votre article très intéressant, d'autant puisque je rédige actuellement une thèse sur les ERP et leur impact au plan organisationnel.
J'ai cherché vos cordonnées sur le blog mais pas trouvé.
Est-il possible de vous rencontrer pour un entretien ayant pour but d'approfondir le sujet, notamment par rapport à la philosophie (différente) de ces ERP, au plan méthodologique, des processus métiers, etc...
Vous remerciant d'avance,
Cordialement
6 De jerome - 13/01/2008, 10:15
Bonjour,
je suis comme toi Hora, je redige une thèse aussi sur les ERP peux tu prendre contact avec moi j'aimerais discuter avec toi des ERP et te poser quelques questions.
Cordialement jerome
7 De Petergun_1 - 28/01/2008, 17:06
Bonjour,
Pour ma part, je suis consultant SI Oracle Financials et j'ai travaillé par ailleurs sur SAP auparavant lorsque j'étais contrleur financier.
Je vous rejoints sur certains points et évidemment m'éloignerai sur certains et tant qu'à faire, je m'éloignerai en évoquant d'autre -/+...
1/ Je vous rejoints sur......... mais.........!
- L'interface, de manière générale et quelque soit les produits R/3 ou EBS, ou encore JD Edwards, cela ne brille pas une interface magnifique truffée d'animation flash, de photos de vacance et j'en passe et des meilleurs décoration. Mais je reconnais que travailler avec une interface visuelle agréable, ergonomique, ludique devrait être davantage pris en compte par les développeurs/éditeurs.
- Les restrictions, là je vous rejoint sans vous rejoindre: oui il y a de nombreuses restrictions, mais celle-ci sont le reflets du paramétrage soit imposé par la "business line" client (exemple: un workflow d'approbation multi-niveaux à développer, des process internes figés nécessitant d'adapter l'outil au besoin et non l'inverse à savoir l'organisation à l'outil). Je suis le premier à dire que l'outils est imparfait et que mettre en place un ERP implique souvent plus qu'un équilibre entre adaptation au nouvel outils et adaptabilité de l'outil avec le Business. Dans bien des cas (la majorité) on espère que le client va s'adapter à l'outils et refondre nombre de ses processus. La réalité saute vite au yeux: les raisons sont nombreuses / politique / entreprise client vieillissante (je ne prétendrai aps qu'il faille mettre à la porte les récalcitrants pollué par leur système qu'ils ont utilisé durant 30 ou 40 ans... mais un minimum d'ouverture et de flexibilité est une condition de la réussite de l'implémentation...
Bref pour réusmé ces 2 idées : l'interface n'est pas le fort de ces outils ce qui n'empêche pas une certaine flexibilité pour s'adapter au besoins. Flexibilité ne rimant pas avec 0 limite, ces limites sont souvent issues de la rigidité des process client avant tout. Maintenant la rigidité de base du système est aussi une volonté de cadrer l'utilisation. Un projet ERP réussit est un projet ERP pour lequel le client aura compris que même si quelques besoins spécifiques peuvent être satisfaits, il devra s'adapter à un outils fourni de bases avec des fonctions standards répondant à 80-90% de ses besoins. Les 10-20% étant la part de contingence dédié au développement support...
La réalité saute vite aux yeux... la tendance 80/20 est plus du 65/35...mais bon...
Maintenant je m'éloigne et ne suis plus trop d'accord / lol
- un ERP est comme une toile d'arraignée : un noyau central autour duquel gravites des modules complémentaires ou non, reliés directement ou indirectement. L'objet est de créer un réseau multi métiers sur une seule toile avec comme finalité de pouvoir croiser les données et éviter ce que vous voyez tout le temps en travaillant avec Business Object lorsqu'un univers est mal paramétré: Erreur/ Calcul cartésien!!!!!!!! insupportable je peux vous l'assurer...
Tout cela pour dire cet outils sur lequel nous passons des savons sur ce débat à une vertue: la rationalisation des process et cela on ne peut lui enlever.
- Maintenant oui la concurrence est limitée : 2 éditeurs et cela est regrettable même si avant il y en avait potentiellement d'autres (SAS, etc...) le choix est encore une fois : politique mais aussi stratégique. Faire appel à un petit éditeur lorsque vous vous appeler Total et que vous devez déployer X licences est une impossible pour toutes les raisons que la logique emporte.
Bon c'est sur, un bon ERP ne vendra pas sans approbation multi niveau pour 4,7 milliard d'€uros les positions de la Société Générale ;)
Bien à vous pour d'autre aventure ERP iterrative ;)
8 De Petergun_1 - 28/01/2008, 17:19
Oups j'ai omis de laisser mon mail pour signer mon précédent roman qui à mon regret, dsl, comporte bcp de fautes... ah qd la passion aveugle ;)
9 De Le webmestre - 29/01/2008, 22:42
@Petergun_1 :À propos de l’interface : Dieu merci, elle n’est PAS ludique ! Mais elle est moche, sous SAP ou Oracle Appli. Et pas du tout ergonomique par pas mal d’aspects. Après, on peut pinailler sur tel ou tel point mais il est indéniable que ce n’est pas le souci majeur des éditeurs. Il y a des progrès avec le temps, et éventuellement des régressions. Et je suis d’accord pour le processus qui est ce qu’il est, mais la limite n’est même pas là, rien de ce que j’ai évoqué ci-dessus n’aa à voir avec des limitations fonctionnelles !
Pour les produits cartésiens sous BO, c’est un problème complètement différent (et BO ne se sent vraiment bien qu’avec un datawarehouse alimenté par derrière dont le schéma de données est incompatible avec celui d’un ERP optimisé pour du transactionnel. Je sais, ce n’est qu’un exemple, mais il est mauvais. Sur le principe je n’ai rien contre les ERP, au contraire, c’est l’implémentation qui pêche (surtout du point du développeur et surtout sur SAP...)
À propos des petits éditeurs : il est vrai qu’un petit éditeur, aussi talentueux soit-il, aura du mal à répondre au cahier des charges s’il faut supporter 20000 points de vente dans 200 pays et 50 langues...
10 De ilouis - 02/06/2008, 12:17
je suis administrateur des bdd oracle, j aimerai juste ajouter le point suivant:
vous parlez plus sur les interfaces et design mais je croix que le plus important c la cohérence des données, la sécurité des données, la lecture et la fiabilité de votre information (rapports, recherches, statistiques, etc.)
Des procédures exemplaires, bien planifiées, bien conçues et bien communiquées favorisent l'intégrité de l'information.
eeeeeeeet je pense que oracle reste le meilleur de tout ça .
merci
11 De sara sara - 07/06/2008, 14:30
bonjour tt le monde
En fait, je suis actuellement en phase de fair une etude de la mise en place de SAP dabs une soété industielle.et je voudrais bien que qlq'un maide à trouver une documentation sur les differents types de SAP.Mon mail est le suivant : suplaylogistic@gmail.com
Merci d'avance
12 De akount - 18/01/2009, 20:48
vos conseils sont benefiques et interessants merci
13 De jhon - 02/12/2009, 14:04
messieu si vous ditez que la reponse ANNULER pour sortir sans rien faire d’une boîte de dialogue cest mal ;;;alors windows cest mal aussi?
14 De jhon - 02/12/2009, 14:04
messieu si vous ditez que la reponse ANNULER pour sortir sans rien faire d’une boîte de dialogue cest mal ;;;alors windows cest mal aussi?
15 De Le webmestre - 02/12/2009, 16:02
@jhon : Faut savoir lire : je m’étonne que le terme employé par SAP soit une translittération directe du « Abbrechen » allemand (« Interrompre »), traditionnel dans le Windows de là-bas, et non le terme « Annuler » familier aux utilisateurs francophones.
Windows oui c’est mal, mais pour d’autres raisons.