Toulousain, Antoine Crozat avait un père d’origine modeste, mais qui s’était déjà énormément enrichi sous Louis XIV. Bénéficiant de ses réseaux puis développant les siens, il atteignit un niveau de fortune monstrueux, prêtant même au Roi, allant jusqu’à se voir octroyée toute la gestion de la […]
janvier 2018 (2)
mardi 30 janvier 2018
« Le Français qui possédait l’Amérique : la vie extraordinaire d’Antoine Crozat, milliardaire sous Louis XIV » de Pierre Ménard
mardi 30 janvier 2018. Histoire
vendredi 19 janvier 2018
John Wyndham : triffides, krakens, lichen, chrysalides, coucous et graines du temps
vendredi 19 janvier 2018. Sur mes étagères alourdies
Je viens de relire des classiques de John Wyndham, ce maître de la science-fiction britanniques des années 50. Ça n’a pas forcément vieilli.
Un point rare dans les livres de cette époque : les personnages féminins de Wyndham sont très loin des potiches, princesses à sauver ou méchantes sorcières. Elles sont aussi motrices de l'action que les mâles, sinon plus assurées qu’eux. C’est un signe de l’évolution sociale depuis les années 50, à la mentalité étonnamment éloignée de la nôtre (cf The Trouble With Lichen, notamment).
Ce n’est pas le seul point lié à la société : la difficulté d’une réponse collective à un danger extérieur, nos effets de troupeau, les foules stupides (y compris en haut de la société) reviennent systématiquement. Les réactions de l’URSS (à l’époque stalinienne) aux différentes menaces rencontrées relèvent du comique.
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